Ana-Maria Cozma est maître de conférences HDR à l’Institut des langues et de la traductologie (Département de français) de l’Université de Turku. Sa recherche se situe en sémantique et en analyse du discours, et adopte l’approche de la Sémantique des possibles argumentatifs développée par Olga Galatanu. Elle s’intéresse aux discours de la bioéthique et aux lexèmes renvoyant à des organismes microscopiques tels microbe, bactérie ou virus.

Nathan Denécheau est actuellement en master 2 LLCER parcours linguistique multilingue, avec le finnois comme langue de spécialité. Sa passion pour les langues et son intérêt pour les pays nordiques l’ont amené à étudier au département d’études nordiques à l’Université de Caen, où il a également appris le suédois pendant 3 ans dans le cadre de sa licence LLCER. Il participe au projet La sémantique du vivant – Living Semantics en tant que stagiaire au laboratoire CRISCO. Au sein de ce projet, il se charge de la transcription de discours oraux en finnois traitant du Kummakivi, bloc erratique situé dans le sud-est de la Finlande à Ruokolahti.

Thomas Ferrand est artiste et botaniste. Il emmène régulièrement des personnes et des groupes à la rencontre des plantes sauvages comestibles et médicinales dans différentes régions de France et parfois même à l’étranger. Il a régulièrement travaillé avec des chefs et cheffes de différents restaurants pour des évènements, pour inventer des menu à base de plantes sauvages. Il travaille parfois avec des cavistes, des boulangers-pâtissiers, des distillateurs, des artistes, pour des collaborations concernant l’alimentation et les plantes. Il a été artiste associé de différents théâtres en France, notamment à Cognac et Poitiers. (Photo crédit : Alban Van Wassenhove.)

Alexandre Gauthier

Arnaud Godet est doctorant en première année au sein du projet Sémantique du vivant, au laboratoire CRISCO, à l’Université de Caen. Sa thèse porte sur l’expression de la sentience végétale en finnois, dans laquelle il étudie les verbes semi-lexicaux du finnois lorsqu’ils apparaissent dans des énoncés où le sujet réfère à des entités végétales.

Kim Lehtonen fait sa thèse à l’université de Turku, Finlande, et enseigne le finnois à l’université de Caen. Sa thèse aborde l’utilisation des verbes dans le discours de la bioéthique, et dans le projet La sémantique du vivant, il s’intéresse surtout aux représentations de l’embryon. Dans son image, il se repose sous un bananier du genre Musa.

Sarah Lévêque

Rea Peltola est professeur, membre du laboratoire CRISCO et responsable des études de finnois à l’Université de Caen . Elle s’intéresse à la corporéïté de la langue et à la construction du sens dans les interactions entre humains et les autres êtres vivants. (Photo crédit : Sarah Lévêque.)