Paul VERLAINE
(1844-1896)
|
AMOUR
1888
▪ PRIÈRE DU MATIN
▪ ÉCRIT EN 1875
▪ UN CONTE
▪ BOURNEMOUTH
▪ THERE
▪ UN CRUCIFIX
▪ BALLADE À PROPOS DE DEUX ORMEAUX QU’IL AVAIT
▪ SUR UN RELIQUAIRE QU’ON LUI AVAIT DÉROBÉ
▪ A MADAME X…
▪ UN VEUF PARLE
▪ IL PARLE ENCORE
▪ BALLADE EN REVE
▪ ADIEU
▪ BALLADE EN L’HONNEUR DE LOUISE MICHEL
▪ A LOUIS II DE BAVIÈRE
▪ PARSIFAL
▪ SAINT GRAAL
▪ « GAIS ET CONTENTS »
▪ A FERNAND LANGLOIS
▪ DÉLICATESSE
▪ ANGÉLUS DE MIDI
▪ A LÉON VALADE
▪ A ERNEST DELAHAYE
▪ A ÉMILE BLÉMONT
▪ A CHARLES DE SIVRY
▪ A EMMANUEL CHABRIER
▪ A EDMOND THOMAS
▪ A CHARLES MORICE
▪ A MAURICE DU PLEYSSYS
▪ A PROPOS D’UN « CENTENAIRE » DE CALDERON
▪ A VICTOR HUGO
▪ SAINT BENOIT-JOSEPH LABRE
▪ PARABOLES
▪ SONNET HÉROÏQUE
▪ DRAPEAU VRAI
▪ PENSÉE DU SOIR
▪ PAYSAGES
|
LUCIEN LÉTINOIS
|
▪ I. "Mon fils est mort. J’adore, ô mon Dieu, votre loi."
▪ II. "Car vraiment, j’ai souffert beaucoup !"
▪ III. "O la Femme ! Prudent, sage, calme ennemi,"
▪ IV. "Ma cousine Élisa, presque une sœur aînée"
▪ V. "J’ai la fureur d’aimer. Mon cœur si faible est fou."
▪ VI. "O ses lettres d’alors ! les miennes elles-mêmes !"
▪ VII. "Mon fils est brave ; il va sur son cheval de guerre,"
▪ VIII. "O l’odieuse obscurité"
▪ IX. "Tout en suivant ton blanc convoi, je me disais"
▪ X. "Il patinait merveilleusement,"
▪ XI. "La Belle au Bois dormait, Cendrillon sommeillait."
▪ XII. "Je te vois encore à cheval"
▪ XIII. "Le petit coin, le petit nid"
▪ XIV. "Notre essai de culture eut une triste fin,"
▪ XV. "Puisque encore déjà la sottise tempête,"
▪ XVI. "Cette adoption de toi pour mon enfant"
▪ XVII. "Ce portrait qui n’est pas ressemblant,"
▪ XVIII. "Ame, te souvient-il, au fond du paradis,"
▪ XIX. "Il m’arrivait souvent, seul avec ma pensée,"
▪ XX. "Tu mourus dans la salle Serre,"
▪ XXI. "Si tu ne mourus pas entre mes bras,"
▪ XXII. "L’affreux Ivry dévorateur"
▪ XXIII. "O Nouvelle-Forêt ! nom de féerie et d’armes !"
▪ XXIV. "Ta voix grave et basse"
▪ XXV. "O mes morts tristement nombreux"
|
▪ BATIGNOLLES
▪ A GEORGES VERLAINE
|
