Paul VERLAINE (1844-1896)
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SAGESSE
1881
I
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▪ I. "Bon chevalier masqué qui chevauche en silence," ▪ II. "J’avais peiné comme Sisyphe" ▪ III. "Qu’en dis-tu, voyageur, des pays et des gares ?" ▪ IV. "Malheureux ! Tous les dons, la gloire du baptême," ▪ V. "Beauté des femmes, leur faiblesse, et ces mains pâles" ▪ VI. "O vous, comme un qui boite au loin, Chagrins et Joies," ▪ VII. "Les faux beaux jours ont lui tout le jour, ma pauvre âme," ▪ VIII. "La vie humble aux travaux ennuyeux et faciles" ▪ IX. "Sagesse d’un Louis Racine, je t’envie !" ▪ X. "Non. Il fut gallican, ce siècle, et janséniste !" ▪ XI. "Petits amis qui sûtes nous prouver" ▪ XII. "Or, vous voici promus, petits amis," ▪ XIII. "Prince mort en soldat à cause de la France," ▪ XIV. "Vous reviendrez bientôt les bras pleins de pardons" ▪ XV. "On n’offense que Dieu qui seul pardonne." ▪ XVI. "Écoutez la chanson bien douce" ▪ XVII. "Les chères mains qui furent miennes," ▪ XVIII. "Et j’ai revu l’enfant unique : il m’a semblé" ▪ XIX. "Voix de l’Orgueil ; un cri puissant, comme d’un cor." ▪ XX. "L’ennemi se déguise en L’Ennui" ▪ XXI. "Va ton chemin sans plus t’inquiéter !" ▪ XXII. "Pourquoi triste, ô mon âme," ▪ XXIII. "Né l’enfant des grandes villes" ▪ XXIV. "L’âme antique était rude et vaine"
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II
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▪ I. "O mon Dieu, vous m’avez blessé d’amour" ▪ II. "Je ne veux plus aimer que ma mère Marie." ▪ III. "Vous êtes calme, vous voulez un vœu discret,"
IV
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▪ I. "Mon Dieu m’a dit : Mon fils, il faut m’aimer. Tu vois" ▪ II. "J’ai répondu : Seigneur, vous avez dit mon âme." ▪ III. "– Il faut m’aimer ! Je suis l’universel Baiser," ▪ IV. "– Seigneur, c'est trop ? Vraiment je n'ose. Aimer qui ? Vous ?" ▪ V. "– Il faut m’aimer. Je suis ces Fous que tu nommais," ▪ VI. "– Seigneur, j’ai peur. Mon âme en moi tressaille toute." ▪ VII. "– Certes, si tu le veux mériter, mon fils, oui," ▪ VIII. "– Ah ! Seigneur, qu’ai-je ? Hélas ! me voici tout en larmes"
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III
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▪ I. "Désormais le Sage, puni" ▪ II. "Du fond du grabat" ▪ III. "L’espoir luit comme un brin de paille dans l’étable." ▪ IV. "Je suis venu, calme orphelin," ▪ V. "Un grand sommeil noir" ▪ VI. "Le ciel est, par-dessus le toit," ▪ VII. "Je ne sais pourquoi" ▪ VIII. "Parfums, couleurs, systèmes, lois !" ▪ IX. "Le son du cor s’afflige vers les bois" ▪ X. "La tristesse, la langueur du corps humain" ▪ XI. "La bise se rue à travers" ▪ XII. "Vous voilà, vous voilà, pauvres bonnes pensées !" ▪ XIII. "L’échelonnement des haies" ▪ XIV. "L’immensité de l’humanité," ▪ XV. "La mer est plus belle" ▪ XVI. "La « grande ville ». Un tas criard de pierres blanches" ▪ XVII. "Tournez, tournez, bons chevaux de bois," ▪ XVIII. "Toutes les amours de la terre" ▪ XIX. "Sainte Thérèse veut que la Pauvreté soit" ▪ XX. "Parisien, mon frère à jamais étonné," ▪ XXI. "C’est la fête du blé, c’est la fête du pain"
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