Métrique en Ligne
Paul-Jean TOULET
(1867-1920)
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VERS INÉDITS
1880-1919

PREMIERS VERS
▪ I. "Ah ! Laissez-vous fléchir un instant,"
▪ II. "Au pays du sucre et des mangues,"
III Sonnets exotiques
▪ 1. "Aimes-tu les jours d'or dénués de mystère,"
▪ 2. "De l'impassible ciel, toujours, toujours pareil,"
▪ 3. "En vain brillent les eaux, pour qu'il s' y désaltère."
▪ IV. A l’âme de Dumollard
V
▪ "Derrière les rideaux des fenêtres closes"
▪ "Viens dans la chambre bien chaude et bien close,"
▪ VI. A une vieille garde
▪ VII. Sonnet
VII
▪ "Vous m'avez demandé des vers, Mademoiselle"
▪ "VOUS m'avez demandé des vers, Mademoiselle,"
▪ IX. Don Juan
▪ X. Souffrance
▪ XI. A un absent
▪ XII. Gethsémani
XIII Dernier Amour
▪ "Fatigué de m'étendre en des couches banales,"
▪ "LASSE d'avoir vécu le masque et le mensonge,"
▪ XIV. "Voici que s'éveille la terre endormie,"
▪ XV. "J’ai trouvé mon Béarn le même,"
▪ XVI. "J’avais laissé mon argent"
▪ XVII. "On t'a dit, et c'est vrai, ma chère,"
XVIII
▪ "Amie aux yeux changeants"
▪ "AMIE aux regards changeants"
▪ XIX. "Toi qui laisses pendre, reptile superbe."
▪ XX. "Te dire que je t'aime."
XXI
▪ "Le bosquet ténébreux (loin des rives brillantes),"
▪ "Album enorgueilli de quelque rare plante,"
▪ XXII. "L'heure comme une bête implacable et gloutonne"
▪ XXIII. "O madone à la lourde traîne,"
▪ XXIV. "Tandis que l'orchestre écoule"
▪ XXV. "A l’écart de tes sombres yeux,"
▪ XXVI. "De toutes les filles sans mœurs"
▪ XXVII. "Je ne puis retourner la dame de pique, la brune,"
▪ XXVIII. "Écoute les fruits que l'automne détache avec des chocs sourds"
▪ XXIX. Épigrammes
▪ XXX. Élégies
POÈMES
▪ I. "Sur Versailles la rousse"
▪ II. "Aimez vous les Jeux et les Ris ?"
▪ III. "O ma douleur"
▪ IV. La ballade des Curnonskas
▪ V. "Tout le jour pour Hélène,"
▪ VI. "Génisse impatiente et qui t'en vas heurtant"
▪ VII. "Héroïsme ou génie, il n'est rien qui ne meure"
▪ VIII. "Jurançon d'or, vineux honneur d'un beau village,"
▪ IX. "Tu naquis, ô Rousseau d'un peuple épais et vain ;"
▪ X. "Hier devant ces gens quand tu baisais ma main"
▪ XI. "Longue route, courte envie ;"
▪ XII. Vieille chanson
▪ XIII. Le comte de Chimène à Bouchardon
▪ XIV. Fleurs à Jeanne d’Arc - Pour sa fête en mal
▪ XV. Charlotte Corday
▪ XVI. "Rappelez-vous : dans les prés verts"
▪ XVII. Pour la Sainte Mathilde
▪ XVIII. Au chevalier Jacques Boulenger, aviateur
▪ XIX. Sur un exemplaire - de Comme une Fantaisie
▪ XX. Ode
▪ XXI. Gammes
▪ XXII. "Bon vin qui rafraîchis ma gorge"
▪ XXIII. "Heureux qui meurt chargé d'années"
▪ XXIV. As you like it
NOUVELLES CONTRERIMES
I « Ceux qui nous consolent »
▪ "Exclusivement soutenu"
▪ "Désaltéré d'un âcre pleur."
▪ II. "Non, vous n'êtes plus mon amie,"
▪ III. Dandysme
▪ IV. La pucelle
▪ V. "Que Rivoire à Jules Renard"
▪ VI. Le Dégel
▪ VII. Le Naufragé
▪ VIII. Le beau voyage
▪ IX. Troisième guitare
▪ X. Naples
▪ XI. La religieuse portugaise
▪ XII. Le manteau rouge
▪ XIII. "— Je m'ennuie. Ah ! Que le Malin"
▪ XIV. Hachichinn
▪ XV. La reine-vierge
▪ XVI. "Il lui disait : « Mon or, mon âme »,"
▪ XVII. "Mahê des Seychelles, le soir :"
▪ XVIII. "Midi résonne à chaque horloge"
▪ XIX. "Tu disais : « Jet' aime, sais-tu ?"
▪ XX. Chanson
▪ XXI. Le rameau d’or
▪ XXII. "J’évoque sur tes bords heureux,"
▪ XXIII. "Je connais un secret bocage"
▪ XXIV. "Faust est triste et seul dans sa chambre,"
▪ XXV. Pauline Borghèse
▪ XXVI. Dialogue
▪ XXVII. In memoriam Jean-Marc Bernard
▪ XXVIII. "Béarn, et toi ciel de Septembre"
▪ XXIX. "Que tu es loin, mon beau septembre,"
▪ XXX. Le précipice
▪ XXXI. "Murs fleuris où, d'hier éclos,"
▪ XXXII. "Infini, fais que je t'oublie"
▪ XXXIII. La nue
▪ XXXIV. Les Palombes
▪ XXXV. "Les Esprits subtils ou puissants"
▪ XXXVI. "Quand l'enfant prodigue revint,"
▪ XXXVII. "Des pommes que l'automne a peintes"
▪ XXXVIII. "As-tu peur de la nuit qui tombe ?"
INTERMÈDE
▪ I. Noël 1914
▪ II. "Qu’il avance, ou qu'il recule,"
▪ III. "Olivier des douze preux"
▪ IV. "La Légion Sacrée en vos soins ressuscite,"
▪ V. Odelette
▪ VI. "Ces Capitans, Muse, ou ces pleutres"
▪ VII. Sur le roi des Teutons (épith.)
▪ VIII. "L’Amérique, sans dithyrambe,"
▪ IX. Au congrès de la paix
VERS TROUVÉS SUR UN MIRLITON
▪ 1. "Non, ce n'est rien. Ce n'est que le bois qui soupire,"
▪ 2. "O Mes sœurs en fumée, et dont la main pressante,"
▪ 3. "D'entendre sur les cèdres noirs craquer le givre,"
▪ 4. "Ah ! M’endormir un de ces jours pleins de colombes,"
▪ 5. "Bocages où s'est tu le bec du pic morose"
▪ 6. "Cher compagnon de mon passé (hélas, tout passe)"
▪ 7. "Et la princesse au bois dormante."
▪ 8. "Votre geste s'aggrave et vos pas sont lassés."
▪ 9. "Le désir du poète est chose de lumière :"
▪ 10. "Floryse qu'il est doux à revoir dans tes yeux"
▪ 11. A Tristan Derème
▪ 12. "O silence attentif d'un soir couleur de miel,"
▪ 13. Traduit de l'Anthologie
▪ 14. "Le temps n'est plus de rire ; et ton sépulcre blanc,"
▪ 15. "J’ai vu ton père et ton époux, l'un et l'autre ivre,"
▪ 16. "L'annamite m'a dit : « Ça, c'est un nid de gouges"
▪ 17. Dohlia à M. Fô
▪ 18. "Un papillon de soufre et qui vole et se penche,"
▪ 19. M. Fô à Dohlia
▪ 20. "J’aime du parc de Pau les hêtres argentés,"
▪ 21. A la manière de lycophron
▪ 22. "Avec cet air de rêve un instant apparue"
▪ 23. "Un soldat d'or faisait des pas. Une servante"
▪ 24. "Avec vos yeux trop grands, de l'abyme sorties,"
▪ 25. "Le neveu d'un héros trafiquait de sa cendre"
▪ 26. "Femmes au geste las, une nuit rencontrées…"
▪ 27. Sur un exemplaire - du Mariage de Don Quichotte
▪ 28. "Orthez, qu’orne un poète à la barbe de fleuve,"
▪ 29. "Je te donne ces vers … Mais tu connais le reste"
▪ 30. "Tu pris, Faïs, un jour que le cœur te gratta,"
▪ 31. Les larmes de Bonichon
▪ 32. "Ainsi que le taureau retourne à sa quérence."
▪ 33. "Que ne suis-je Archiloque à te darder d'ïambes."
▪ 34. "A jaune. E rouge, I vert, O noir, U gris, consonne"
▪ 35. "Les yeux vers le couchant triste et voluptueux."
▪ 36. "Âme et chairs vite en feu, mais lentement guéries."
▪ 37. "Ses parents qui vivaient sans luxe, sur la rue"
▪ 38. "« Dépouiller des pouilleux, ou mener guerre en Pouille,"
▪ 39. Sur un exemplaire du Grand Dieu Pan
▪ 40. "Un geindre au soupirail luisait des feux du four,"
▪ 41. "Nane, à mes doigts voluptueuse porcelaine."
▪ 42. Le tendre artisan
▪ 43. "Loué soit le héros qui meurt"
▪ 44. "Moi ! Porter la culotte. Ah ! C’est un mauvais conte,"
▪ 45. "Pour ne pas faire Gille à M. de Pibrac"
▪ 46. Conseil
▪ 47. "Tu as les jambes. Rubinstein, et le poil blond."
▪ 48. "Fauste, en ces jours fleuris, j'avais toute ta foi."
▪ 49. "Ce Priape. Appuyé d'une noire armature."
▪ 50. La Présidente inquiète
▪ 51. "— Déjà, dit Chahriarr, le calife à neuf queues"
▪ 52. "Rivoire a bien du cœur dans son humble carrière."
▪ 53. "D’Houville, que son vers sinueux nous dérobe."
▪ 54. "Quand tu as bu, M…, sinistre lesbienne :"
▪ 55. "J’aimerais à me perdre au sein du firmament"
▪ 56. "Leblanc va jouer Faust, Hamlet, l’Aiglon. Maleine …"
▪ 57. "Non, les comédiens ne sont pas des maroufles,"
▪ 58. Le billet d’Alceste
▪ 59. "La drogue, le cadavre, et maint Asiatique."
▪ 60. "Croyant railler Dupont. Souday blessa Durand."
▪ 61. "Vils calomniateurs, quoi : « Ce n’est pas le diable"
▪ 62. "Moi si j'avais l'honneur d'être Monsieur Doumic,"
▪ 63. "Sarcey disait un soir : « Je ne sais si vous êtes"
▪ 64. "La plume au cœur, longues raisons et cheveu court,"
▪ 65. "Les Quarante, c'est une bonne table d'hôte."
▪ 66. Art poétique
▪ 67. "Tu as beau secoué hors d'un linceul livide"
▪ 68. "Avec ses airs de scribe et de garde champêtre,"
▪ 69. "Némorin, ô rancœur,"
▪ 70. "Je me demande en t'écoutant, triste Maindron."
▪ 71. "Et rencontrant qui se soûlait,"
▪ 72. "On se disait voyant Siegfried déjà si laid :"
▪ 73. "Dans un dancing secret d'où les femmes sont hors"
▪ 74. "J’atteste, dit Médée. Athène et la Rafette,"
▪ 75. "Nous nous aimions jadis — mais il n'y paraît guère."
▪ 76. "Écrit sur l'urne : « Un soir, et nue après la fête."
▪ 77. "Avril, parfois à l'occident couleur de suie."
▪ 78. "Lilith, il m'en souvient, — et que l'heure attendue"
▪ 79. "Marchand de sable, à l'heure où Floryse s'endort,"
▪ 80. "Notre amour qui se meurt … comme d'un feu de joie,"
▪ 81. "Ne me dis pas : « Et notre amour, quand mourra-t-elle ? »"
▪ 82. "Toi qui pleures d'amour, ah, ne crains pas tes larmes !"
▪ 83. "Au détour du chemin, la mort m'a fait un signe."
▪ 84. "Voici l'hiver. Mais le printemps en jupon vert"
▪ 85. "L'hiver sous les frimas a ses douceurs encore :"
ÉPITRE A LA MUSE
▪ Le jour des Morts
▪ Satire première
▪ Épître à ma Muse
SUR QUELQUES TABLEAUX
▪ 1. Sur un portrait de Charles-Quint
▪ 2. Sur « la Belle Ferronière » du Vinci
▪ 3. Sur « la Joconde »
▪ 4. Sur le portrait d’un « Sénateur vénitien »
▪ 5. Sur un dessin de Michel-Ange
▪ 6. Sur la « Tête de Saint Sébastien »
▪ 7. Sur l’ »Antiope » du Corrège
▪ 8. Sur « les Bergers d’Arcadie »
▪ 9. Sur « le Bal » d’après Abraham Bosse
▪ 10. Sur « l’Enlèvement d’Hélène »
▪ 11. Sur le portrait d’Hyacinthe Rigaud
▪ 12. Sur un portrait de Carle Vanloo
▪ 13. Sur un tableau de l’école de Watteau
▪ 14. Sur un Lancret
▪ 15. Sur un Lancret
▪ 16. Sur un Chardin
▪ 17. Sur un Boucher
▪ 18. Sur la « Cruche Casée » de Greuze
▪ 19. Sur une tête de femme de Greuze
▪ 20. Sur le « Petit Orateur »
▪ 21. Sur « Un bal chez Philippe Le Bas »,
▪ 22. Sur le portrait du fils de Napoléon par Prudhon
▪ 23. Sur le portrait de M. Bertin
▪ 24. Sur l' « Apothéose de Cherubini »
▪ 25. Sur « la Source » d’Ingres :
▪ 26. Sur la « Prise de Constantine »
▪ 27. Sur la « Découverte des restes de Raphaël
▪ 28. Sur un Corot :
▪ 29. Sur une lithographie d’Eugène Delacroix
▪ 30. Sur les « Cavaliers Sahariens »
▪ 31. Sur « Au Labour » de Troyon
▪ 32. Sur le « Fontainebleau » de Rousseau :
▪ 33. Sur Courbet
▪ 34. Sur les «Glaneuses » de Millet
POÈMES INACHEVÉS
▪ I. LES BASQUAISES
▪ II. "Rien qu'à me le chanter tout bas"
▪ III. "Pour un air sifflé dans la rue"
▪ IV. "Telle qu'en ces jours où la terre"
▪ V. "Dans la casa Tenorio,"
▪ VI. "SEIGNEUR, qui remplissez l'espace"
▪ VII. "La pourpre, l'or et la musique"
▪ VIII. "LES plaisirs de mes jeunes ans"
▪ IX. "Ciel équivoque, heures de brune"
▪ X. "C’est en vain qu'aux os de la ville"
▪ XI. "C’est sur l'escalier, il me semble,"
▪ XII. "Oui, Marsan, vous avez raison"
▪ XIII. "L’OUBLI ce noir suaire,"
▪ XIV. "Ce n'est pas drôle de mourir"
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