Métrique en Ligne
Paul-Jean TOULET
(1867-1920)
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LES CONTRERIMES
édition de 1920
1921

Les Contrerimes
▪ I. "Avril, dont l'odeur nous augure"
▪ II. "Toi qu'empourprait l'âtre d'hiver"
▪ III. "Iris, à son brillant mouchoir,"
▪ IV. "Ces roses pour moi destinées"
▪ V. "Dans le lit vaste et dévasté"
▪ VI. "Il pleuvait. Les tristes étoiles"
▪ VII. "Le microbe : Botulinus"
▪ VIII. "Dans le silencieux automne"
▪ IX. "Ô mer, toi que je sens frémir"
▪ X. "« Ce tapis que nous tissons comme"
▪ XI. "Sur la banquette en moleskine"
▪ XII. "L'hiver bat la vitre et le toit."
▪ XIII. "1) Les trois princes Pou, Lou et You,"
▪ XIV. "Le coucou chante au bois qui dort."
▪ XV. "En souvenir des grandes Indes,"
▪ XVI. "Trottoir de l'Élysé'-Palace"
▪ XVII. "D'un noir éclair mêlés, il semble"
▪ XVIII. "Géronte d'une autre Isabelle,"
▪ XIX. "Circé des bois et d'un rivage"
▪ XX. "Est-ce moi qui pleurais ainsi"
▪ XXI. "— « Maman !… Je voudrais qu'on en meure. »"
▪ XXII. "Boulogne, où nous nous querellâmes"
▪ XXIII. "Carthame chatoyant, cinabre,"
▪ XXIV. "Ah, Curnonsky, non plus que l'aube,"
▪ XXV. "Ô poète, à quoi bon chercher"
▪ XXVI. "Comme les dieux gavant leur panse,"
▪ XVII. "Cet huissier, qui jetait, l'été,"
▪ XVIII. "Le sonneur se suspend, s'élance,"
▪ XXIX. "Tel variait au jour changeant"
▪ XXX. "Quand nous fûmes hors des chemins"
▪ XXXI. "Tandis qu'à l'argile au flanc vert,"
▪ XXXII. "À Pau, les foires Saint-Martin,"
▪ XXXIII. "D'une amitié passionnée"
▪ XXXIV. "Ce fut par un soir de l'automne"
▪ XXXV. "Un Jurançon "
▪ XXXVI. "Comme à ce roi laconien"
▪ XXXVII. "De tout ce gala de province"
▪ XXXVIII. "Quel pas sur le pavé boueux"
▪ XXXIX. "« — Embrassez-moi, petite fille,"
▪ XL. "L'immortelle, et l'œillet de mer"
▪ XLI. "— « Bayonne ! Un pas sous les Arceaux,"
▪ XLII. "À l'Alcazar neuf, où don Jayme"
▪ XLIII. "Ainsi, ce chemin de nuage,"
▪ XLIV. "Vous qui retournez du Cathai"
▪ XLV. "Molle rive dont le dessin"
▪ XLVI. "Douce plage où naquit mon âme ;"
▪ XLVII. "Nous jetâmes l'ancre, Madame,"
▪ XLVIII. "Saïgon : entre un ciel d'escarboucle"
▪ XLIX. "J'ai beau trouver bien sympathique"
▪ L. "J'ai vu le Diable, l'autre nuit ;"
▪ LI. "On descendrait, si vous l'osiez,"
▪ LII. "C'était, dans les vapeurs du nard,"
▪ LIII. "— « Enfin, puisque c'est Sa demeure,"
▪ LIV. "Tout ainsi que ces pommes"
▪ LV. "À Londres je connus Bella,"
▪ LVI. "Au détour de la rue étroite"
▪ LVII. "Dans la rue-des-Deux-Décadis"
▪ LVIII. "C'était sur un chemin crayeux"
▪ LIX. "Dessous la courtine mouillée"
▪ LX. "Pour une dame imaginaire"
▪ LXI. "Pâle matin de Février"
▪ LXII. "Me rendras-tu, rivage basque,"
▪ LXIII. "Toute allégresse a son défaut"
▪ LXIV. "Toi, pour qui les dieux du mystère"
▪ LXV. "Plus souple à dénouer mes plis"
▪ LXVI. "Sur l'océan couleur de fer"
▪ LXVII. "Ô jour qui meurs à songer d'elle"
▪ LXVIII. "Dormez, ami ; demain votre âme"
▪ LXIX. "Quand l'âge, à me fondre en débris,"
▪ LXX. "La vie est plus vaine une image"
Chansons
▪ I. Romances Sans Musique.
▪ II. "Le temps irrévocable a fui. L'heure s'achève."
▪ III. "Longtemps si j'ai demeuré seul,"
▪ IV. "Quelquefois, après des ébats polis,"
▪ V. "Toi qui fais rêver, ô brune"
▪ VI. "Vous souvient-il de l'auberge"
▪ VII. "Aimez-vous le passé"
▪ VIII. "Satan, notre meg, a dit"
▪ IX. "En l'an 801 de Rome"
▪ X. "Vêtue à l'envi d'un beau soir"
▪ XI. "Décor d'encre. Sur le ciel terne"
▪ XII. "Vous me reprochez, entre tant,"
▪ XIII. "Si tu savais encor te lever de bonne heure,"
▪ XIV. "Ces premiers froids que l'on réchauffe d'un sarment,"
Dixains
▪ I. "Nane, as-tu gardé souvenir"
▪ II. "Église de Saint-Augustin,"
▪ III. "Si ta grande ombre, ô Moréas,"
▪ IV. "Chandelier toujours sans chandelle"
▪ V. "« — Non, ce taxi, quelle charrette."
▪ VI. "L'un vainqueur ou l'autre battu,"
▪ VII. "Industrieux fils de Dédale"
▪ VIII. "Sur le canal Saint-Martin glisse,"
▪ IX. "Ce pavé que l'Europe foule"
▪ X. "Qu'Allard, sur la caricature"
▪ XI. "Tant pis si Boulenger m'attrape,"
▪ XII. "Puisque tes jours ne t'ont laissé"
Coples
▪ I. "Le sable où nos pas ont crié, l'or, ni la gloire,"
▪ II. "Toi qui blessas Vénus, ah, si Vénus te blesse,"
▪ III. "Tant de travail, docteur, pour découvrir enfin"
▪ IV. "Quoi, c'est vrai, tu m'aimas, qui de moi fus aimée ?"
▪ V. "Scarabée amoureux, qu'un enivrant délice,"
▪ VI. "Que ce fut douce, hélas ; que c'est lointaine chose,"
▪ VII. "Hélas, rien ne varie ; et quoi qu'on ait coutume"
▪ VIII. "Mopse prétend pécher contre l'Esprit : c'est être"
▪ IX. "Tel qui soûla de sang ses rêves et son fer,"
▪ X. "Vénus hait le soleil. Sous le couvert éclose,"
▪ XI. "Lorsque Timour partit avec sa femme en croupe"
▪ XII. "Bénarès, dont le nom est rempli de parfums,"
▪ XIII. "Qu'importe si l'automne a fané le séjour"
▪ XIV. "L'amour n'est plus. Le jour viendra-t-il que j'oublie,"
▪ XV. "Boy, une pipe encor. Douce m'en soit l'aubaine"
▪ XVI. "Tout autour de la lampe à deux fois rallumée"
▪ XVII. "Quand les os sont pareils à des roseaux légers ;"
▪ XVIII. "Brouillard de l'opium tout trempé d'indolence,"
▪ XIX. "Invisibles regards qu'on sait qui nous verront,"
▪ XX. "La dure alcôve au bénarès est parfumée,"
▪ XXI. "Dans ce charnier d'amants qu'a dévorés la Chine"
▪ XXII. "Ô nuit parmi les nuits de laque et de vermeil,"
▪ XXIII. "— « Contemple un autre monde » a chuchoté la fée,"
▪ XXIV. "On dirait une main qui chiffonne un linceul."
▪ XXV. "Cette averse, Badoure, où ma langueur balance"
▪ XXVI. "Quoi, nul amour encor ne t'enseigna ses veilles,"
▪ XXVII. "Admire des glaïeuls l'écarlate pointu,"
▪ XXVIII. "Toi qu'arment les pavots de leur sombre vertu,"
▪ XXIX. "Paradis d'ombre fraîche et de chaleur extrême,"
▪ XXX. "Madame, qui l'eût dit que dans vos bras habite"
▪ XXXI. "Je me rappelle un jour de l'été blanc, et l'heure"
▪ XXXII. "Stendhal, si revenait ta blonde Chastellux,"
▪ XXXIII. "— Tout ce réseau, cette ombre, invisible séjour"
▪ XXXIV. "C'est la H. Ellen De Northeambrie,"
▪ XXXV. "Presque une enfant encor, mais déjà grande et belle,"
▪ XXXVI. "J'adore les magasins du passage Choiseul,"
▪ XXXVII. "Arc vermeil, mais des arcs le plus lâche en sa corde."
▪ XXXVIII. "Augagneur va parler. France est à la campagne :"
▪ XXXIX. "Tu m'avais dit : « Je t'embrasserai, si tu veux,"
▪ XL. "— Agnès, pleurer ? Dit Charle. Oui, quand à Marly mouille"
▪ XLI. "La mer étincelait ainsi qu'une gitane"
▪ XLII. "Heure céruléenne, et vous, regards couverts :"
▪ XLIII. "Toi dont pendent les fleurs au rivage de Loire,"
▪ XLIV. "Jardin qu'un dieu sans doute a posé sur les eaux,"
▪ XLV. "Alger, ville d'amour, où tant de nuits passées"
▪ XLVI. "Salut, Côte-Rotie, et toi, rouget trilibre,"
▪ XLVII. "Ces arondes de jade, et l'or qui les emmanche"
▪ XLVIII. "En l'an 1910 de phrases — et du Christ,"
▪ XLIX. "Sous le soir jaune et vert nous ne reviendrons pas"
▪ L. "De faire amant ensemble, ah, c'est un doux barème :"
▪ LI. "Le Mardi gras, ni toi, ni moi, nous n'étions gais."
▪ LII. "Mopse, pour tous émoluments, longtemps vécut"
▪ LIII. "Voici que j'ai touché les confins de mon âge."
▪ LIV. "Esclave, mais non pas de l'homme, et qu'au matin"
▪ LV. "Tu as beau me parler de vieillesse, ah, que n'ai-je"
▪ LVI. "Madame Récamier. Pour un sourire d'elle"
▪ LVII. "Ces moires dont Zéphire incline la prairie,"
▪ LVIII. "On rit, on se baise, on déjeune…"
▪ LIX. "Cette fraîcheur du soir, qu'on dirait que tamise"
▪ LX. "Ah, mon frère aux beaux yeux, ce n'est pas sans douceur,"
▪ LXI. "Elle est noire, c'est vrai. Corail ni jameroses"
▪ LXII. "Eh, jeûnes à ta faim d'aimer si le déboire"
▪ LXIII. "Dessous le flamboyant qui couvre l'herbe nue"
▪ LXIV. "Que je t'aime au temps chaud, la sœur et bientôt mûre"
▪ LXV. "Ne crains pas que le Temps sçache les cieux briser ;"
▪ LXVI. "Deux vrais amis vivaient au Monomotapa"
▪ LXVII. "Le divin parfum de Chine emplissait la chambre."
▪ LXVIII. "Sous ta paupière bleue, Albe, ton regard d'or :"
▪ LXIX. "Des bords du canal noir où tu quittas ton linge,"
▪ LXX. "Va, laisse notre amour en paix : du feu de joie"
▪ LXXI. "Il m'en souvient : ta robe claire dans l'allée."
▪ LXXII. "Il n'est plus, ce jour bleu — ni ses blanches colombes —"
▪ LXXIII. "Mère d'un seul amour, ô Vénus Uranie,"
▪ LXXIV. "Ô femmes, dites-moi, dans la nuit qui passez,"
▪ LXXV. "Vieillesse, lendemain d'amour, tristes ébats…"
▪ LXXVI. "Filles de la fumée, à qui l'aube décente"
▪ LXXVII. "Le soleil se levait dans un ciel sans nuage."
▪ LXXVIII. "Mon chien s'appelait Tom, et ma chienne Djaly."
▪ LXXIX. "Spongieux, panaché de bambous, triste, plat,"
▪ LXXX. "Ciel ! Isadora Duncan"
▪ LXXXI. "Comme je lui levais sa jupe, curieux"
▪ LXXXII. "Eh quoi, le monde tourne, et mon bol, et ce livre"
▪ LXXXIII. "Nous fumâmes toute la nuit. Puis un boy vint"
▪ LXXXIV. "Sous le ciel noir, j'entends les fruits tomber, Faustine,"
▪ LXXXV. "L'ombre, ni le mystère enchanté des fontaines,"
▪ LXXXVI. "Telle qu'étincelait sa gorge un soir de fête,"
▪ LXXXVII. "Nous bûmes tout le jour, un autre — et, le suivant,"
▪ LXXXVIII. "La demoiselle, de vieillesse, est presque morte."
▪ LXXXIX. "Ne cherche pas l'amour en dehors de soi-même."
▪ LXC. "Ce qu'il fait, . a cru longtemps que c'est des vers."
▪ LXCI. "Je songe aux plats sucrés de ma vieille Detzine,"
▪ LXCII. "Le bouc et la brebis enfantent le titire."
▪ LXCIII. "Le tournebroche à poids qui réglait la cuisine"
▪ LXCIV. "Pour un cuino, se mettre à trois, ah c'est beaucoup."
▪ LXCV. "La guirlande n'est plus, ni le brun violier,"
▪ LXCVI. "Toi dont un tendre cœur, sous son ferme corsage,"
▪ LXCVII. "Le parc ruisselle encore, où l'averse a passé,"
▪ LXCVIII. "J'ai connu dans Séville, une enfant brune et tendre"
▪ LXCIX. "Dans l'océan des nuits où l'œil plonge et s'enchante"
▪ C. "Ô Diane, ô nuit pure où chante un rossignol,"
▪ CI. "Dans quelle Inde nouvelle, ou que ce soit demain"
▪ CII. "Sous le double ornement d'un nom mol ou sonore,"
▪ CIII. "Derrière les deux tours qui gardent son manoir,"
▪ CIV. "Étranger, je sens bon. Cueille-moi sans remords :"
▪ CV. "Ici repose Henry de Bruchard ; si la cendre"
▪ CVI. "Gloire aux victorieux. Mais, de celui qui tombe,"
▪ CVII. "C'est Dimanche aujourd'hui. L'air est couleur du miel."
▪ CVIII. "Nuit d'amour qui semblais fuir entre deux dimanches."
▪ CIX. "Si vivre est un devoir, quand je l'aurai bâclé,"
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