Métrique en Ligne
Armand SILVESTRE
(1837-1901)
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LE PAYS DES ROSES
1880-1882

▪ "Je sais, du profond de mon être,"
IMPRESSIONS ET SOUVENIRS
▪ LA VÉNUS DE MILO
▪ LA VÉNUS DE VIENNE
▪ ULTIMA GLORIA
▪ LES CHOSES N'ONT PLUS DE LARMES
▪ LES FEMMES ET LA MER
▪ FANTAISIE BRUNE
▪ FANTAISIE BLONDE
▪ FIERTÉ
▪ DEVANT LA MAISON DE THÉOPHILE GAUTIER
▪ DATE LILIA
▪ EXIL
▪ À UN POÈTE
▪ SCEPTICISME
▪ ORAGE
▪ PAYSAGE
▪ À THILDA
▪ MATUTINA
▪ ÉLOGE DE LA LYRE
AMOUR D'HIVER
▪ OFFRANDE
▪ PRÉLUDE
I
▪ "C'EST au temps de la chrysanthème"
▪ "Sentir seulement votre haleine"
▪ "Si mon cœur devient votre chose"
▪ "Je vis dans une angoisse affreuse ;"
▪ "De votre première toilette"
▪ "Quel souvenir inconsolé"
▪ "Vous voir chaque jour, vous entendre"
▪ "Je porte sur moi ton image"
▪ "Quand j'ai lu dans tes yeux trompeurs"
▪ "Je vis sous le charme mortel"
▪ "Mes vers dits par ta voix chantent à mon oreille"
▪ "Dans quelle fleur se cache-t-il"
▪ "Avec des frissons inconnus"
▪ "Ta beauté m'a vaincu parce qu'elle est pareille"
▪ "Mes désirs, comme un vol de cygnes !"
▪ "Lorsque le printemps reviendra,"
▪ "Si longtemps que je t'aimerai,"
▪ "L'amour qui me ravit tour à tour et m'effare"
▪ "Je me sens oublié sans oublier moi-même :"
▪ "Mon cœur est plein de Toi comme une coupe d'or"
II
▪ "J'IGNORAIS tout de Toi, ne connaissant encore"
▪ "Il me semble parfois que je t'ai reconnue,"
▪ "Il n'est de jours heureux que ceux où je te vois."
▪ "Quand tu passes, ma bien-aimée,"
▪ "Sous la treille où la clématite"
▪ "Je te revois enfant, — comme tu m'as conté, —"
▪ "Que l'heure est vite passée"
▪ "L'hiver de cet an est si doux"
▪ "Tu ne sauras jamais de quelle amour profonde"
▪ "Ce n'est pas en amant seulement que je t'aime."
III
▪ "TU l'as bien dit : je ne sais pas l'aimer."
▪ "Pourquoi m'avoir donné ce que tu m'as repris ?"
▪ "Tu ne savais donc pas comme je t'eusse aimée,"
▪ "Comme d'un regard, comme d'un sourire"
▪ "Ne souffre plus ! Tu vois que je suis résigné."
▪ "Et comment serais-je rebelle"
▪ "Peu m'importe que de la nue"
▪ "J'ai respiré, durant une heure,"
▪ "Ah ! du moins, pour toi je veux être"
▪ Épilogue
VERS POUR ÊTRE CHANTÉS
▪ REGRET D'AVRIL
▪ CHANSON D'HIVER
▪ LES LILAS
▪ TRISTESSE
▪ CHANSON D'AMOUR
▪ O GIUVENTA PRIMAVERA
▪ TOUT S'OUBLIE
▪ LA NOCTUELLE
▪ LA CHANSON DU SOUVENIR
▪ EN MAI
▪ BONNE CHANSON
▪ RESSOUVENIR
▪ MYSTÈRE
▪ LA PLAINTE DE SAPHO
A TRAVERS LA VIE
▪ SOUVENIR DE JACQUEMART
▪ A VICTOR HUGO
▪ MAI
▪ ASTARTÉ
▪ ADIEUX A UNE COMÉDIENNE
▪ DÉPART
▪ VIEILLE MAISON
▪ RENCONTRE
▪ LES FILS DE PROMÉTHÉE
▪ PENSÉE D'AUTOMNE
▪ LA VIERGE DE CIRE
▪ SUR UN ALBUM
▪ NOËL D'AMOUR
▪ L'AN NOUVEAU
▪ QUAM PULCHRA ES, AMICA !
LES DÉSESPÉRÉS
SONNETS D'AMOUR
▪ I. "Ne crains plus rien d'un cœur qu'a trahi sa fierté :"
▪ II. "Je suis l'obscur amant de ta beauté farouche"
▪ III. "Le temps a tout jeté par terre d'un coup d'aile,"
▪ IV. "Tout vit encore en toi de ce qu'en toi j'aimais !"
▪ V. "O front marmoréen qu'habile la pensée ;"
▪ VI. "Un mensonge du ciel rend pareille souvent"
▪ VII. "Tu regrettes la plage où la mer se lamente"
▪ VIII. "L'an qui s'enfuit attache aux givres éclatants"
▪ IX. "Sur le tombeau des lys à l'horizon couchée,"
▪ X. "Cet amour sans espoir m'épouvante, et pourtant"
▪ XI. "Mon âme est comme un lac immobile et dont l'onde"
▪ XII. "Sur le deuil de mon cœur cette ivresse flamboie"
▪ XIII. "Le chant du matin vibre à l'horizon de cuivre"
▪ XIV. "Comme un souffle se lève aux rives de la plaine"
▪ XV. "Fuyant le ciel menteur des espérances vaines,"
▪ XVI. "Ta pitié vainement avait fermé l'abîme"
▪ XVII. "Le Rêve est un ami pitoyable aux amants"
▪ XVIII. "Quand vers ton front pensif le nocturne silence"
▪ XIX. "Quand le sang des héros, de la terre trempée,"
▪ XX. "L'aile rose du jour, en s'ouvrant sur la Terre,"
▪ XXI. "Sur le chêne où l'automne a mis ses tons de cuivre,"
▪ XXII. "Comme au jardin maudit dont la pluie et le vent"
▪ XXIII. "Vers quel infini tend ta Beauté, qu'elle prenne"
▪ XXIV. "Si tu cherches pourquoi mon triste amour s'augmente"
▪ XXV. "Portant d'un cœur plus doux ma douleur plus profonde,"
▪ XXVI. "Ne cherchant d'autre bien que d'aimer sans salaire,"
▪ XXVII. "Comme un ruisseau d'argent par les fentes d'une urne"
▪ XXVIII. "Pour mon âme en toi renaîtront"
▪ XXIX. "L'or des astres perdus habite les prunelles ;"
▪ XXX. "Vers le déclin viril de mes jeunes années,"
▪ XXXI. "Un tel enchaînement enveloppe ton être,"
▪ XXXII. "O lâcheté d'un cœur pourtant las de souffrir !"
▪ XXXIII. "Comme une feuille morte à ta robe attachée,"
▪ XXXIV. "Dans la poussière fauve où l'horizon se noie,"
▪ XXXV. "Le grand lac solitaire où l'image des cieux"
▪ XXXVI. "Comme un cygne blessé monte d'un vol plus lent"
▪ XXXVII. "Le mal, en effleurant ta Beauté, l'a parée"
▪ XXXVIII. "Tes yeux ont des langueurs divines où s'émousse"
▪ XXXIX. "Je suis resté près de ta porte,"
▪ XL. "Lorsque la mort viendra me toucher de son aile,"
▪ MUSIQUE
HOSANNA MÉLANCOLIQUE
▪ I. "J'ADORE ta Beauté, pour ce qu'elle est pareille"
▪ II. "J'adore ta Beauté pour ce qu'elle illumine"
▪ III. "J'adore la Beauté pour ce qu'elle me tue,"
▪ "La vie est comme une colline"
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