Georges RODENBACH (1855-1898)
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Les Vies Encloses
1896
LE VOYAGE DANS LES YEUX
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▪ I. "Tels yeux sont des pays de glace, un climat nu" ▪ II. "Pourquoi les yeux, étant limpides, mentent-ils ?" ▪ III. "Dans les yeux, rien de leur histoire ne s'efface ;" ▪ IV. "Quelques femmes, dans leurs prunelles sensitives," ▪ V. "L'œil est un glauque aquarium d'eau somnolente :" ▪ VI. "D'où vient-il dans les yeux cet occulte affluent" ▪ VII. "Les yeux sont des bassins d'eau changeante qui dort," ▪ VIII. "L'agate arborisée est pleine d'une flore" ▪ IX. "Quelles clartés, reflets d'étoiles ou de lampes," ▪ X. "En l'eau tiède des yeux tranquilles combien j'ai" ▪ XI. "Celui qui dessina ces Têtes au fusain" ▪ XII. "Mon âme dans les yeux languissamment dérive," ▪ XIII. "L'œil, qu'on croit enchâssé, comme une calme opale," ▪ XIV. "En des pays de longs canaux et de marais," ▪ XV. "On reconnaît de suite à certains vagues signes" ▪ XVI. "Yeux d'aveugles : ils sont tristes, l'air d'une plaie ;" ▪ XVII. "J'ai gardé dans mes yeux, comme un thésauriseur," ▪ XVIII. "Les yeux des femmes sont des Méditerranées" ▪ XIX. "Le sommeil met aux yeux un tain spirituel" ▪ XX. "Tels yeux parfois ont l'air plus vieux que leurs visages ;"
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▪ ÉPILOGUE. "Ici toute une vie invisible est enclose"
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