MÉTRIQUE EN LIGNE

Métrique en Ligne

Jean RICHEPIN
(1849-1926)

LA MER

1894

UN DIZAIN DE SONNETS

▪ I. "Parmi les vains désirs, à l’avance déçus,"
▪ II. "Aussi bien, après tout, puisque je suis ici"
▪ III. "Et d’abord, sache bien à ma louange, ami,"
▪ IV. "N’aurais-je que cela, c’est au moins pronostic"
▪ V. "D’aucuns m’ont demandé, d’un ton presque aigrelet"
▪ VI. "Elle est à tout le monde en n’étant à personne."
▪ VII. "Michelet à la mer a fait parler son verbe,"
▪ VIII. "Et les marins, leur joie et leur mélancolie !"
▪ IX. "— C’est le vers, rhythme et rime, harmonie et cadence."
▪ X. "Grands oiseaux voyageurs qui risquez l’aventure"

LES LITANIES DE LA MER

▪ I. LES LITANIES DE LA MER

MARINES

▪ I. ACCOUCHEMENT
▪ II. LES PAPILLONS
▪ III. LES HIRONDELLES DE MER
▪ IV. LA FALAISE
▪ V. OCEANO NOX
▪ VI. BRUME DE MIDI
▪ VII. LE JARDIN VIVANT
▪ VIII. PANTOMIME
▪ IX. AQUARIUM À MARÉE BASSE
▪ X. BATAILLE DE NUIT
▪ XI. BRISE DE TERRE
▪ XII. MACKEREL SKY
▪ XIII. LES PHARES
▪ XIV. NUAGERIES
▪ XV. FLORÉAL
▪ XVI. LA FÊTE DU FEU
▪ XVII. EN SEPTEMBRE
▪ XVIII. VENTÔSE
▪ XIX. LES CORBEAUX
▪ XX. EFFET DE NEIGE
▪ XXI. MOUETTES, GRIS ET GOÉLANDS
▪ XXII. LE PÉTREL
▪ XXIII. UNE VAGUE
▪ XXIV. LE DERNIER OCÉAN

MATELOTES

▪ I. LARGUE
▪ II. MON PREMIER VOYAGE
▪ III. LE JOLI NAVIRE
▪ IV. C’EST LA FILLE DU FORBAN
▪ V. LA MÈRE BARBE-EN-JONC
▪ VI. LE MAUVAIS HÔTE
▪ VII. UN COUP D’RIQUIQUI
▪ VIII. TERRIENNE
▪ IX. AMÈNE

LES GAS

▪ I. PARTANCE
▪ II. EN RAMANT
▪ III. AU CIMETIÈRE
▪ IV. ÉTUDE MODERNE D’APRÈS L’ANTIQUE
▪ V. LA MARINE MILITAIRE
▪ VI. PARLER MATHURIN
▪ VII. LE MOT DE GILLIOURY
▪ VIII. PAUVRES BOUGRES
▪ IX. LE CHALUT
▪ X. LES POUILLARDS
▪ XI. LES SARDINIÈRES
▪ XII. L'HARENG SAUR
▪ XIII. LES HALEURS
▪ XIV. UN MORUTIER
▪ XV. LES SONGEANTS
▪ XVI. LES TROIS MATELOTS DE GROIX
▪ XVII. LE SERMENT

ÉTANT DE QUART

▪ I. PRÉLUDE
▪ II. LES ÉCUS DE LA LUNE
▪ III. LE CATAFALQUE
▪ IV. LE MARGAT
▪ V. LE BAISER DU VENT
▪ VI. OISEAUX DE TEMPÊTE
▪ VII. IL ÉTAIT UNE FOIS
▪ VIII. ADIEU
▪ IX. LES DEUX SŒURS
▪ X. BAISERS PERDUS
▪ XI. LA COLÈRE DU BATEAU
▪ XII. FRISSONS D’AMOUR
▪ XIII. VOIES LACTÉES
▪ XIV. L’OUBLIEUX
▪ XV. QUATRE HEURES DU MATIN
▪ XVI. JOLIS FLOTS
▪ XVII. LARMES
▪ XVIII. DANS LE BROUILLARD
▪ XIX. L’ÉTOILE DU NORD
▪ XX. ENCORE ELLE
▪ XXI. ELLE TOUJOURS
▪ XXII. CLAMAVI
▪ XXIII. L’INSAISISSABLE
▪ XXIV. À LA DÉRIVE
▪ XXV. LES ÎLES ROSES
▪ XXVI. CAUSERIES DE VAGUES
▪ XXVII. CE QU’EN PENSE UN FLOT
▪ XXVIII. TERRE !
▪ XXIX. DE RETOUR
▪ XXX. POST-SCRIPTUM

LES GRANDES CHANSONS

▪ I. LA VIEILLE
▪ II. LE SOUFFLE
▪ III. LE SECRET
▪ IV. LE SEL
▪ V. LES MONSTRES
▪ VI. LES ALGUES

VII LA GLOIRE DE L’EAU

▪ "De l’éternelle Isis les seins inépuisés"
▪ "Béni soit le gouffre amer"
▪ "Comment dans cette vase aux clapotements mous"
▪ "Ce que la science imagine,"
▪ "Mais que l’humanité triomphatrice,"
▪ "Cette goutte, d’abord, voici comme elle est née."
▪ "Et maintenant que par l’image"
▪ "De la mer nourricière, ô terre inassouvie,"
▪ "Oui, chantons la mer chérie,"
▪ "Hélas ! nous aurions beau dans cet hymne superbe"

▪ VIII. LA MORT DE LA MER

FINALE

▪ I. GALETS SÉCHÉS
▪ II. POURTANT
▪ III. ADIEU VAT