Jean RICHEPIN (1849-1926)
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LES CARESSES
1877
THERMIDOR
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▪ I. LE PENDU JOYEUX ▪ II. VIEILLES AMOURETTES ▪ III. L'IDÉAL ▪ IV. "Puisqu'à mon fauve amour tu voulus te soumettre," ▪ V. REPAS CHAMPÊTRE ▪ VI. RONDEAUX MIGNONS ▪ VII. "Pourquoi donc t'habiller si matin, ma chérie ?" ▪ VIII. LE GALANT JARDINIER ▪ IX. "La salive de tes baisers sent la dragée" ▪ X. "Comment, mignonne, j'ai fait souffrir votre orgueil ?" ▪ XI. "Quand je vous ai mise en colère," ▪ XII. RÉVEIL ▪ XIII. "Tu dors ? Ce n'est pas vrai, folle, tu fais semblant." ▪ XIV. "Bien avant d'avoir pu contempler à mon gré" ▪ XV. "Depuis lors je t'ai tenue" ▪ XVI. "Son corps est d'un blanc monotone" ▪ XVII. BEAUTÉ MODERNE ▪ XVIII. AU THÉÂTRE ▪ XIX. UNE FANTAISIE ▪ XX. "Tes paroles ont des musiques cristallines." ▪ XXI. "Mes désirs ne sont point lassés." ▪ XXII. "La possession dégoûte !" ▪ XXIII. "Encore et toujours, te dis-je !" ▪ XXIV. LE TRÉSOR ▪ XXV. LE GOINFRE D'AMOUR ▪ XXVI. "Sous tes lèvres de miel quand tu fermes mes yeux," ▪ XXVII. INSATIABLEMENT ▪ XXVIII. UN PEU DE REPOS ▪ XXIX. LENDEMAIN DE FÊTE ▪ XXX. "O maîtresse, ta bouche exécrable et charmante" ▪ XXXI. ESCLAVAGE ▪ XXXII. ABDICATION ▪ XXXIII. "Dis-moi n'importe quoi ! porte-moi n'importe où" ▪ XXXIV. A CORPS PERDU ▪ XXXV. L'AMOUR MALSAIN
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