Métrique en Ligne
Germain NOUVEAU
(1851-1920)
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Poésies d'Humilis
et Vers Inédits
1872-1881

POÉSIES D'HUMILIS
▪ Invocation
▪ Cantique à la Reine
▪ Immensité
▪ Dieu
▪ L'Homme
▪ Aux Femmes
▪ Les Mains
▪ Le Corps et l'Âme
▪ Volupté
▪ Hymne
▪ Les Musées
▪ Les Cathédrales
▪ Mors et Vita
▪ Fraternité
▪ Charité
▪ Pauvreté
▪ Humilité
▪ Chasteté
▪ Idylle
▪ Couples prédestinés
▪ Dans les temps que je vois
▪ L'Amour de l'Amour
▪ Aphorismes
VERS INÉDITS
▪ La Maison
▪ Sonnet d'Été
▪ Style Louis XV
▪ Un peu de musique
▪ Retour
▪ En forêt
▪ Les Chercheurs
▪ Rêve claustral
▪ Au Musée des Antiques
DIZAINS RÉALISTES
▪ I. "Muses, souvenez-vous du guerrier, — de l’ancien"
▪ II. "J’ai du goût pour la flâne, et j’aime, par les rues,"
▪ III. "J’entrais chez le marchand de meubles, et là, triste,"
▪ VI. "Je courais la Russie… — Oui, Monsieur, me dit-elle,"
▪ V. "Cheminant Rue aux Ours, un soir que dans la neige"
▪ VI. "On m’a mis au collège (oh les parents, c’est lâche !)"
▪ VII. "On s’aimait, comme dans les romans sans nuage,"
▪ VIII. "C’est à la femme à barbe, hélas ! qu’il est allé,"
▪ IX. "Octobre, vers le vieux château, dont le portail"
▪ Pourrières
▪ "Que triste tombe un soir de novembre !"
▪ "Gilles, fils de Watteau, grand frère des Lys blancs,"
▪ "Brummel ganté, rasé, l’œil sur et point bravache."
▪ "Une Soirée en noir et blanc sous les plafonds"
▪ "Et maintenant ! auprès de Charles Bovary,"
▪ "L’Église où l’orgue dort. La nef silencieuse."
▪ L’Enfant pâle
▪ Les Colombes
▪ Paysage nègre
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