Métrique en Ligne
Albert MÉRAT
(1840-1909)
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L'ADIEU
1873

▪ I. "Oh ! pourquoi partir sans adieux ?"
▪ II. "J’ai là, devant moi, son portrait."
▪ III. "Ne leur en veuillons pas :"
▪ IV. "Il reste la mélancolie"
▪ V. "Non, tu ne m’as rien emporté!"
▪ VI. "C’était le bruit de sa bottine"
▪ VII. "Un jour nous étions en bateau :"
▪ VIII. "L’eau coulait au bord des prés,"
▪ IX. "Les caresses, ailes de l'âme,"
▪ X. "Je n’aimerai jamais que toi…"
▪ XI. "Du temps que tu fus tout mon bien,"
▪ XII. "« Toujours l’extase des baisers !"
▪ XIII. "Nous nous rencontrerons"
▪ XIV. "J’ai fait ce rêve bien souvent,"
▪ XV. "Son désordre était charmant :"
▪ XVI. "J’ai mêlé ma vie à la tienne,"
▪ XVII. "Les étoiles ne me sont rien,"
▪ XVIII. "Oh ! les mauvais dîners charmants"
▪ XIX. "Les poëtes sont des rois"
▪ XX. "Quand on est heureux, on n’a pas d’histoire."
▪ XXI. "Comment aurait-elle pu,"
▪ XXII. "Ce qui m’arrive est affreux :"
▪ XXIII. "Quand les malheureux ont l'été"
▪ XXIV. "Si je n’étais pas assez bon,"
▪ XXV. "Dans la forêt mouillée et verte,"
▪ XXVI. "Te souviens-tu de ce matin d’hiver,"
▪ XXVII. "En vain ma force se roidit."
▪ XXVIII. "Il ne faut pas les appeler cruelles :"
▪ XXIX. "Non, je ne te réclame rien ;"
▪ XXX. "Ce n’est pas moi qui dois pleurer,"
▪ XXXI. "Quand tu n’auras plus ton beau sein,"
▪ XXXII. "A m’avouer pour son amant"
▪ XXXIII. "Tu peux bien ne pas revenir"
▪ XXXIV. "Pourquoi la renier ?"
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