Métrique en Ligne
Stuart MERRILL
(1863-1915)
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Petits Poèmes d'Automne
1895

AMOUR D'AUTOMNE
▪ I. "L’enchanteresse de Thulé"
▪ II. "Des rossignols chantant à des lys"
▪ III. "Mon front pâle est sur tes genoux"
▪ IV. "Je crois, folle, que tout l'automne"
▪ V. "Au temps de la mort des marjolaines,"
▪ VI. "— Viens, très douce, rêver aux heure."
▪ VII. "Tu vins vers moi par les vallées"
▪ VIII. "Ce fut en un soir où les chansons"
▪ IX. "Une nuit, sous ta terrible lune"
▪ X. "O narcisses et chrysanthèmes"
▪ XI. "Nous avons quitté ce soir la grand’ville"
▪ XII. "Je ne sais plus par quelle contrée"
▪ XIII. "La nuit, dans un pays de fleurs"
INTERLUDE DE CHANSONS
▪ I. "Mon âme, en une rose,"
▪ II. "Des fleurs du soir plein tes mains,"
▪ III. "O paix de ce pays d’ici"
▪ IV. "Des lauriers, des lilas et des lys"
▪ V. "O ma dame des pavots"
▪ VI. "Élise, Liliane,"
▪ VII. "O Passantes, faites le signe"
ÂME D’AUTOMNE
▪ I. "Au bord de la lointaine grève"
▪ II. "Au son des tambours et des cymbales,"
▪ III. "Je suis né dans une ville d’or"
▪ IV. "Mon royaume est plein de cavalcades"
▪ V. "L’étendard que mon bras de rebelle"
▪ VI. "Je suis ce roi des anciens temps"
▪ VII. "Je suis mort au bord de la grève"
▪ VIII. "Roses trop rouges de mon désir,"
▪ IX. "La porte de la triste maison"
▪ X. "Le lierre noir et la rose églantine"
▪ XI. "Mon âme tant mal de s’endort,"
▪ XII. "Les sept fontaines sont taries"
▪ XIII. "Rouge en la cathèdre royale"
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