Métrique en Ligne
Pierre LOUŸS
(1870-1925)
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ŒUVRES COMPLÈTES
TOME XIII
POÉSIES
1888-1920

PREMIERS VERS
▪ "Ô toi que je n’ai jamais vue,"
▪ AMBITION
▪ LE SOIR À LA CAMPAGNE
▪ MÉRYEM DE MAGDALA
▪ TRISTESSE
▪ "Je ne suis qu’un enfant, Madame, et je sais bien"
▪ MÉLOPÉE
▪ LA SOUFFLEUSE D’ÉTOILES
▪ LE LIT
▪ ENTRE L’ÂME ET LE MONDE
▪ LA MORT DE SAPPHO
▪ "Je chanterai des vers de onze syllabes,"
▪ "Je l’ai sculpté dans un tronc d’ivoire,"
▪ "C’était une vallée horrible et toute nue,"
▪ "Au pas blanc de leurs haquenées,"
▪ PREMIÈRE SEXTINE
▪ SONNET SUR LA MORT D’UNE JEUNE FILLE
▪ FLEUR D’EAU
▪ À UNE NYMPHE DE DIANE
▪ "La fille blonde que j’avais vue"
▪ "Les glaives de tes panoplies,"
▪ "Les yeux qui voient la mer et les champs et les eaux"
▪ LE BAISER SUR LA JOUE
▪ SONNET
▪ "Avec la nuit montante et le lever des brumes,"
▪ LA SIRÈNE
▪ DANS LA FORÊT DE GASTINE
▪ "Tu devais être adorable, toi,"
▪ LA MER
▪ À MADEMOISELLE MARGUERITE MORENO
▪ "Tu me reviens du bain, de la messe ou du Louvre,"
▪ ÉLÉVATION
▪ LE JOYAU DE CRISTAL
ASTARTÉ
▪ À PAUL AMBROISE VALERY
▪ UNE ALLÉGORIE - GLAUCÉ
▪ ASTARTÉ
▪ LES FILLES DU DIEU
▪ LA DANSEUSE
▪ ÉMAUX SUR OR ET SUR ARGENT
▪ HEURE MOROSE
▪ VERS LES YEUX DES SIRÈNES
▪ AU PRINCE TACITURNE
▪ LA NUIT
▪ L’EFFLORAISON
▪ LA FEMME AUX PAONS
▪ LE CRÉPUSCULE DE L’EAU
▪ LES STIGMATES
▪ LES AIGLES
▪ PÉGASE
▪ LE RETOUR DES NEFS
▪ UN PORT
▪ LE BOUCOLIASTE
▪ CHUTE DE JOUR
▪ FUNÉRAILLES
▪ LE GESTE DE LA LANCE
▪ L’ANGE
▪ LE SYMBOLE
CHRYSIS
CHRYSIS
▪ I. "De l’or crespé couleur coucou"
▪ II. "Le soir de soie issu des seins"
▪ CHRYSIS À ANDRÉ WALTHER
▪ SONNET
▪ L’IRIS
▪ CLÉOPÂTRE
▪ SONNET POUR UN ÉVENTAIL
▪ LE PASSANT
▪ LA PRAIRIE
▪ OUVERTURE DE TANNHAUSER
▪ VOIX FUNÈBRE
▪ DANSEUSE
▪ DERNIER SONNET
AQUARELLES PASSIONNÉES
▪ I. LA DANSE
▪ II. L’AMADZONE
▪ III. LE RETOUR D’ADONIS
▪ GIBIER DIVIN
▪ L’OMBRE
▪ LA PREMIÈRE AMERTUME
▪ SIRÈNE MOURANTE
▪ ENVOI
▪ EUKHARISTÔS
LA FORÊT DES NYMPHES
▪ L’AUBE DE LA LUNE
LES HAMADRYADES
▪ I. "Elles marchent dans l’herbe et boivent aux ruisseaux,"
▪ II. "Des sylvains et des pans se souvient-elle encore"
▪ III. "Les arbres des forêts sont des femmes très belles"
▪ LA FLÈCHE
▪ LE SOIR
▪ LA NUIT
▪ JOUR D’HIVER
▪ LA NASARDE
▪ LE PÊCHEUR
▪ LES PETITES FAUNESSES
▪ HOMMAGE À VICTOR HUGO
▪ SONNET ADRESSÉ À M. MALLARMÉ
▪ TOMBEAU DE BAUDELAIRE
▪ POUR LA STÈLE DE LECONTE DE LISLE
STANCES
▪ À LA NYMPHE DE SUMÈNE
▪ APHRODITE
▪ SUBSCRIPTUM TUMULO JOANNIS SECUNDI
▪ PRIÈRE DE L’ADOLESCENTE
▪ PSYCHÉ
▪ ISTHI
▪ PERVIGILIUM MORTIS
POÉSIES DIVERSES
▪ À CLAUDE DEBUSSY
▪ BALLADE
▪ RÉPONSE
▪ SONNET
▪ L’ON
▪ LA TORCHE À TRAVERS LA NUIT
▪ L’ADIEU
▪ L’ANNIVERSAIRE
▪ "Séjour du bleu, Dar el Azreg,"
▪ "Damon, ce frais début, ce folâtre délire"
FRAGMENTS
▪ "Un rêve m’a hanté dans mes heures de veille :"
▪ À HÉLÈNE
▪ "Oh ! s’il est quelque part, dans l’irréel du monde,"
▪ "Comme un chevreuil perdu, la nuit, au bord de l’eau,"
▪ "La naïade aux bras verts qui fait fuir les anguilles"
▪ "Et c’est là ce qui fait que la Thessalienne"
▪ "Pomone aux seins velus, Flore écarlate et glabre,"
▪ "Auprès d’Alger, dans la banlieue,"
▪ ÉVENTAIL
▪ "Si je me suis mal fait comprendre, et t’ai peiné,"
▪ "Cinq cent quatre commencements"
▪ "Presque seul dans une presqu’île,"
DERNIERS VERS
▪ RETOUR
▪ "Hélas ! tout sonne triste et creux"
▪ "Hélas ! tout ce qui me fut cher,"
▪ "À chacun de mes jours qui tombe,"
▪ "Ah ! vraiment, je le crie encor,"
▪ "Et je m’étais fait une vie"
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