Accueil
Présentation
Posters et diaporamas
Publications
Corpus
Corpus XML
Corpus analysé
Documents
Ressources
Dictionnaire des diérèses
Dictionnaire des rimes
Répertoire des mètres
Répertoire des formes fixes
Répertoire des strophes
Données statistiques par auteur
Relevés métriques
Relevés métriques du Corpus
Malherbə
Autres relevés métriques
Documentation
Description
Explications
Cahiers du CEM
Dictionnaire de métrique
Références
Cabinet des curiosités
Liens
Choix des textes
Liste des auteurs
Liste des recueils
Victor HUGO
(1802-1885)
L'année terrible
1872
PROLOGUE
▪ LES 7 500 000 OUI
▪ "J'entreprends de conter l'année épouvantable,"
AOÛT (1870)
▪ SEDAN
SEPTEMBRE
▪ I. CHOIX ENTRE LES DEUX NATIONS
▪ II. À PRINCE PRINCE ET DEMI
▪ III. DIGNES L'UN DE L'AUTRE
▪ IV. PARIS BLOQUÉ
▪ V. À PETITE JEANNE
OCTOBRE
▪ I. "J'étais le vieux rôdeur sauvage de la mer,"
▪ II. "Et voilà donc les jours tragiques revenus !"
▪ III. "Sept. Le chiffre du mal. Le nombre où Dieu ramène,"
NOVEMBRE
▪ I. DU HAUT DE LA MURAILLE DE PARIS À LA NUIT TOMBANTE
▪ II. PARIS DIFFAMÉ À BERLIN
▪ III. À TOUS CES PRINCES
▪ IV. BANCROFT
▪ V. EN VOYANT FLOTTER SUR LA SEINE DES CADAVRES PRUSSIENS
▪ VI. "Prêcher la guerre après avoir plaidé la paix !"
▪ VII. "Je ne sais si je vais sembler étrange à ceux"
▪ VIII. "Qu'on ne s'y trompe pas, je n'ai jamais caché"
▪ IX. À L'ÉVÊQUE QUI M'APPELLE ATHÉE
▪ X. À L'ENFANT MALADE PENDANT LE SIÈGE
DÉCEMBRE
▪ I. "Ah ! c'est un rêve ! non ! nous n'y consentons point."
▪ II. "Vision sombre ! un peuple en assassine un autre."
▪ III. LE MESSAGE DE GRANT
▪ IV. AU CANON LE V. H.
▪ V. PROUESSES BORUSSES
▪ VI. LES FORTS
▪ VII. À LA FRANCE
▪ VIII. NOS MORTS
▪ IX. À QUI LA VICTOIRE DÉFINITIVE ?
JANVIER 1871
▪ I. 1er JANVIER
▪ II. LETTRE A UNE FEMME
▪ III. BÊTISE DE LA GUERRE
▪ IV. "Non, non, non ! Quoi ! ce roi de Prusse suffirait !"
▪ V. SOMMATION
▪ VI. UNE BOMBE AUX FEUILLANTINES
▪ VII. LE PIGEON
▪ VIII. LA SORTIE
▪ IX. DANS LE CIRQUE
▪ X. APRÈS LES VICTOIRES DE BAPAUME
▪ XI. ENTRE DEUX BOMBARDEMENTS
▪ XII. "Mais, encore une fois, qui donc à ce pauvre homme"
▪ XIII. CAPITULATION
FÉVRIER
▪ I. AVANT LA CONCLUSION DU TRAITÉ
▪ II. AUX RÊVEURS DE MONARCHIE
▪ III. PHILOSOPHIE DES SACRES - ET COURONNEMENTS
▪ IV. A CEUX QUI REPARLENT DE FRATERNITÉ
▪ V. LOI DE FORMATION DU PROGRÈS
MARS
▪ I. "N'importe, ayons foi ! Tout s'agite,"
▪ II. LA LUTTE
▪ III. LE DEUIL
▪ IV. L'ENTERREMENT
▪ V. "Coup sur coup. Deuil sur deuil. Ah ! l'épreuve redouble."
AVRIL
▪ I. LES PRÉCURSEURS
▪ II. LA MÈRE QUI DÉFEND SON PETIT
▪ III. "Temps affreux ! ma pensée est, dans ce morne espace"
▪ IV. UN CRI
▪ V. PAS DE REPRÉSAILLES
▪ VI. "Le penseur est lugubre au fond des solitudes."
▪ VII. "Oh ! qui que vous soyez, qui voulez être maîtres,"
▪ VIII. "Pendant que la mer gronde et que les vagues roulent,"
MAI
▪ I. LES DEUX TROPHÉES
▪ II. "Les siècles sont au peuple ; eux, ils ont le moment,"
▪ III. PARIS INCENDIÉ
▪ IV. "Est-il jour ? Est-il nuit ? horreur crépusculaire !"
▪ V. UNE NUIT À BRUXELLES
▪ VI. EXPULSÉ DE BELGIQUE
JUIN
▪ I. "Un jour je vis le sang couler de toutes parts ;"
▪ II. "Quoi ! rester fraternel, c'est être chimérique !"
▪ III. "Par une sérénade on fête ma clémence."
▪ IV. "Je n'ai pas de palais épiscopal en ville,"
▪ V. EN QUITTANT BRUXELLES
▪ VI. À MADAME PAUL MEURICE
▪ VII. "Je n'ai point de colère et cela vous étonne."
▪ VIII. À QUI LA FAUTE ?
▪ IX. "La prisonnière passe, elle est blessée. Elle a"
▪ X. "Une femme m'a dit ceci : — J'ai pris la fuite."
▪ XI. "Sur une barricade, au milieu des pavés"
▪ XII. LES FUSILLÉS
▪ XIII. À CEUX QU'ON FOULE AUX PIEDS
▪ XIV. A VIANDEN
▪ XV. "Toujours le même fait se répète ; il le faut."
▪ XVI. "Je ne veux condamner personne, ô sombre histoire."
▪ XVII. "Participe passé du verbe Tropchoir, homme"
▪ XVIII. LES INNOCENTS
JUILLET
▪ I. LES DEUX VOIX
▪ II. FLUX ET REFLUX
▪ III. L'AVENIR
▪ IV. LES CRUCIFIÉS
▪ V. FALKENFELS
▪ VI. LES INSULTEURS
▪ VII. LE PROCÈS À LA RÉVOLUTION
▪ VIII. À HENRI V
▪ IX. LES PAMPHLÉTAIRES D'ÉGLISE
▪ X. "O Charles, je te sens près de moi. Doux martyr,"
▪ XI. "De tout ceci, du gouffre obscur, du fatal sort,"
▪ XII. "Terre et cieux ! si le mal régnait, si tout n'était"
ÉPILOGUE
▪ DANS L'OMBRE
ANNEXE
▪ TALION