Métrique en Ligne
Victor HUGO
(1802-1885)
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OCÉAN VERS
1902

LE MANUSCRIT 24 787 1826-1851
▪ F° 4. "Ah ! nos pères ont vu l'orgueil républicain"
▪ F° 5. "Or il mourut, eut sépulture à Chartre."
▪ F° 6. "Les creusements de mines éventrent la plaine."
▪ F° 11. "Ô ! je voudrais bien, madame,"
▪ F° 14. "Vois Mars, Jupiter et Saturne,"
▪ F° 19. "Acteurs du théâtre Seveste"
▪ F° 22. "Ô foyer paternel ! ô foyer domestique !"
▪ F° 24. "Un ange alors, s'abattant sur la terre,"
▪ F° 32. "D'avance, et c'est peu de chose,"
▪ F° 33. "Air qui portes la voix des abîmes béans"
▪ F° 41. "Le destin, qui nous prend par nos passions mêmes,"
▪ F° 43. "Rêver ! chercher ! sonder les mystères de l'être,"
▪ F° 44. "Seigneur, jadis un homme, ayant la, foi pour base,"
▪ F° 47. "À peine si parmi les jasmins et lés roses,"
▪ F° 48. "Ta vie est sombre, hélas ! ta joie est éphémère,"
▪ F° 51. "Car, tristes âmes abaissées,"
▪ F° 53. "Dans un des carrefours du monde,"
▪ F° 54. "Car je ne vois là-haut ni tombeaux, ni décombres,"
▪ F° 58-59. "Penchant sur l'avenir sa vaste rêverie,"
▪ F° 61. "Je tremble, ô vaste poëte,"
▪ F° 68. "Ils sentent dans leur coeur qu'émeut la nuit obscure"
▪ F° 69. "Nous serons des esprits le pôle et le milieu ;"
▪ F° 70-70 bis. "Adieu, Paris, cité princesse,"
▪ F° 71. "Pauvres mères toujours, sans redouter les lames,"
▪ F° 73. "Le bois profond, l'eau sombre où l'esquif s'aventure,"
▪ F° 79. "L'océan monstrueux fit d'immenses murmures ;"
▪ F° 81. "Quand le voyageur, seul dans l'immense campagne,"
▪ F° 85. "Elle plaît au regard, elle est charmante à voir"
▪ F° 88. "Par instants la vapeur sombre"
▪ F° 90. "Toi qui seule toujours, planes au fond du ciel,"
▪ F° 93. "Ô temps ! si l'on pouvait dans ton urne profonde"
▪ F° 94. "Depuis Adam, sur la terre,"
▪ F° 96. "Frappez avec le front plutôt qu'avec le pied."
▪ F° 103. "Que peut devenir la pensée"
▪ F° 104. "Oh ! n'enviez pas, mes frères,"
▪ F° 108. "Les villages dans l'eau miraient leurs toits candides."
▪ F° 109-110. "Comme de la parole il use mal souvent,"
▪ F° 111. "Ce qu'il allait chercher, vous les savez, étoiles,"
▪ F° 118. "Oui, mon respect pour vos grandeurs est nul,"
▪ F° 132. "Ne vous lassez pas ! que Dieu sème"
▪ F° 137. "Partout l'ombre, partout le désert froid et mort ;"
▪ F° 142. "Vos vers sont un lac pur. Tout s'y mire. Leur onde"
▪ F° 143. "C'est là que tout enfant, comme un aigle qui rêve,"
▪ F° 151. "Pauvre oiseau nu ! Sa voix douce"
▪ F° 152. "En vain mille rivaux voudraient d'un trait de flamme"
▪ F° 158. "Comparant ma pensée avec les bois épais,"
▪ F° 166. "Je ne puis vous cacher ces lugubres batailles"
▪ F° 170. "Après tant de choses passées,"
▪ F° 171. "Les lâches en livrant leurs frères et leurs pères,"
▪ F° 173. "Bruit, foule et multitude,"
▪ F° 175. "Dieu ! nous sommes perdus si tu ne nous délivres !"
▪ F° 176. "Ce gibet où l'agneau rend un céleste oracle,"
▪ F° 194. "Je ne connais de vous, madame,"
▪ F° 206. "Ils vont à l'opéra comme ils vont à la messe,"
▪ F° 207. "Ce ne sont point là des désastres"
▪ F° 212. "Ces hommes insensés, infirmes et superbes,"
▪ F° 230. "La justice, l'amour, la force, la beauté,"
LE MANUSCRIT 24 788 1852-1870
▪ F° 2. "Ils fuiront, ils fuiront hors du palais superbe,"
▪ F° 4. "Ta force est misérable et tes splendeurs sont viles."
▪ F° 9. "Les hommes ont toujours torturé la colombe."
▪ F° 17. "Toujours, dans le passé, comme aujourd'hui, le glaive."
▪ F° 19. "Dans cette obscurité qui flotte et qui se creuse,"
▪ F° 25. "Aux fils des croisés"
▪ F° 26. "Loin des rayonnements, des triomphes, des fêtes,"
▪ F° 29. "L'homme est la sombre mouche errante qui s'enfuit,"
▪ F° 30. "C'est l'heure où le fantôme effacé quitte Électre,"
▪ F° 38. "Sous le crâne, crypte sans flamme,"
▪ F° 46. "Et des reines alors, dans l'ombre où leur front penche,"
▪ F° 48. "La pluie épanche ses rosées ;"
▪ F° 48. "Que de fois, poursuivi d'un tourbillon de rêves,"
▪ F° 51. "Tout marche : c'est la loi de l'homme."
▪ F° 52. "Jeanne disait : toujours je te serai fidèle,"
▪ F° 53. "Et le soir ils courent aux antres"
▪ F° 55. "Ta pensée apparaît sinistre à tous les yeux ;"
▪ F° 56. "Car les prophètes noirs songent au seuil des antres ;"
▪ F° 67. "Pour Dieu pensif qui voit les cœurs dans les poitrines,"
▪ F° 89. "Ô rive où nul ne passe et que ronge l'écume,"
▪ F° 101. "Un vent sinistre, fauve, âpre, rauque, en fureur,"
▪ F° 103. "L'homme est comme un bourreau debout dans la nature."
▪ F° 108. "Qu'êtes-vous, fantômes ? Je nie,"
▪ F° 115. "C'est le même infini qui, mer bleue, ombre épaisse,"
▪ F° 117. "L'été quand les eaux coassent"
▪ F° 117. "Et quant à faire la guerre"
▪ F° 127. "Je suis rein' d'Angleterre"
▪ F° 130. "C'est la première fois que la Peur, ignorée"
▪ F° 138. "Quand j'étais à Jersey, dans l'île fatidique,"
▪ F° 142. "Sur ces fosses éternelles,"
▪ F° 161. "Le pâle genre humain s'enfonçant dans la nuit"
▪ F° 166. "L'horizon blanc semble un rêve,"
▪ F° 171. "Pourquoi veux-tu passer près de la maison sombre ?"
▪ F° 201. "… Et pendant que les sphinx accroupis devant Thèbe,"
▪ F° 211. "À qui donc parle la tempête ?"
▪ F° 214. "Il vient, le Dieu des épouvantes,"
▪ F° 225-226. "Nous voyons les vagues vertèbres"
▪ F° 229. "Qui donc sait comment pousse l'herbe ?"
▪ F° 233. "Les vagues par moments dispersent ma pensée"
▪ F° 233. "Quelle étrange clarté dans la fatale pomme"
▪ F° 247. "Le 9 sème, le 6 récolte."
▪ F° 248. "L'homme esclave ! de qui ? De l'homme. O cieux profonds !"
▪ F° 251. "Un bruit profond roulait dans les souffles de l'air ;"
▪ F° 261. "Je t'aime mieux femme que chatte."
LE MANUSCRIT 24 789 1870-1884
▪ F° 26. "La fraternité pacifique"
▪ F° 24. "Ce que je vais conter, est-ce un rêve? une fable ?"
▪ F° 27. "Tu dis courage au lâche et tu fais signe au traître."
▪ F° 59. "Quand cet homme se vit plus grand que tous les autres,"
▪ F° 75. "Que ton nom soit le fier complice"
▪ F° 77. "Ce Dieu, malgré le roi, le sénat, le conclave,"
▪ F° 82. "Ah ! malheur, sur la barque effarée et flottante,"
▪ F° 83-84. "Que se passe-t-il ? on l'ignore,"
▪ F° 90. "Si, parmi ce qui s'ébauche"
▪ F° 92. "Le seigneur à la grosse tête"
▪ F° 106. "Sous l'armure et sous les lierres,"
▪ F° 134. "Ces quatre chevaux qu'il attelle,"
▪ F° 166. "Pendant que je vais dans l'abîme,"
▪ F° 169. "Soudain la porte s'ouvre et les danses, les pas,"
▪ F° 177. "Si les déserts, si les sables,"
▪ F° 179-180. Chanson
▪ F° 181-183. Autre Chanson [Tristesse, Chanson triste]
▪ F° 184-185. "Je vous quitte, ô villes malsaines !"
▪ F° 187-188. "Si tu veux que je te dise"
▪ F° 195. "Enfant, le peuple te regarde,"
▪ F° 196. "L'homme juste est solide. Il va sans reculer."
VERS FAITS EN DORMANT
▪ F° 199. "Est-ce que ce n'est pas un désolant spectacle"
▪ F° 201. "Il dormait, pâle et nu, cet homme, de discorde,"
▪ F° 202. "Souvent, quand dans les flots l'orage ailé se plonge,"
▪ F° 206. "Cet homme, dans son burg infâme,"
▪ F° 208. "Et, soufflant la brume illusoire,"
▪ F° 210. "Or, c'est moi qui vous renseigne,"
▪ F° 212. "Ô fuite insaisissable et sombre de la vie !"
▪ F° 217. "Alors il se logea chez le vieux prêtre sombre"
▪ F° . LES JOYEUX FILS DE NATURE ET D'AMOUR
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