Métrique en Ligne
Charles GUÉRIN
(1873-1907)
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Le Cœur Solitaire
1895

I
▪ I. "Ô mon ami, mon vieil ami, mon seul ami,"
▪ II. "Souffrir infiniment, souffrir, souffrir assez"
▪ III. "Soirs de stérilité qui font l'âme plus sèche"
▪ IV. "Stériles nuits d'hiver où ton âme trop pauvre,"
▪ V. "Le grain de blé qu'on va moudre contient l'hostie."
▪ VI. "Aime : la bouche aimée est savoureuse et chaude,"
▪ VII. "Je voudrais être un homme : or rien, dans mes poèmes,"
▪ VIII. "Avec le ciel doré, le vent, la voix des chênes,"
▪ IX. "Le soleil disparu rayonne sur la mer,"
▪ X. "Sur nos pas le profond enfer s'est refermé."
II A FRANCIS JAMMES
▪ XI. "Ô Jammes, ta maison ressemble à ton visage."
▪ XII. "Si Virgile habitait la douce Parthénope,"
III FENÊTRES SUR LA VIE
▪ XIII. "Qu'on ouvre la fenêtre au large, qu'on la laisse"
▪ XIV. "Ce soir après la pluie est doux ; soir de septembre"
▪ XV. "Vieilles femmes des champs, vos âmes sont plus simples"
▪ XVI. "Le ciel est pur, l'eau transparente, et l'air du soir"
▪ XVII. "Charme indéfinissable et fin, le soir d'été"
▪ XVIII. "Du seuil de sa prison charnelle, l'âme écoute"
▪ XIX. "Le soir léger, avec sa brume claire et bleue,"
IV MÉLANCOLIES A VIOLLIS
▪ XX. "Le ciel pâlit. La terre humide et reposée"
▪ XXI. "Voici dans le couvent voisin qui se recueille"
▪ XXII. "L'amour nous fait trembler comme un jeune feuillage,"
▪ XXIII. "Le ciel profond reflète en étoiles nos larmes,"
▪ XXIV. "Je te vois anxieuse et belle de pâleur ;"
▪ XXV. "J'écris ; entre mon rêve et toi la lampe chante."
▪ XXVI. "Souvent, le front posé sur tes genoux, je pleure,"
▪ XXVII. "Tu sommeilles ; je vois tes yeux sourire encor."
▪ XXVIII. "La maison serait blanche et le jardin sonore"
▪ XXIX. "Ah ! Le navrant sourire où monte un flot de larmes,"
▪ XXX. "Encore un peu ta bouche en pleurs, encore un peu"
▪ XXXI. "Ma douce enfant, ma pauvre enfant, sois forte et calme."
▪ XXXII. "Je t'apporte, buisson de roses funéraires,"
▪ XXXIII. "Quel est ce lied qui fait son nid dans mon silence"
▪ XXXIV. "Que la nuit m'enveloppe et dorlote ma peine"
▪ XXXV. "Parfois, sur les confins du sommeil qui s'achève,"
▪ XXXVI. "Qui de vous n'a connu les soirs où l'on écoute"
▪ XXXVII. "Lasse et les cils battants, heureuse, elle se penche,"
▪ XXXVIII. "Ne mêle pas l'esprit aux choses de la chair."
V A LA MEMOIRE DE SAMAIN
▪ XXXIX. "Avec ses espaliers de luxure et de fastes"
▪ XL. "Les rossignols chantaient sur le tombeau d'Orphée."
▪ XLI. "Comme un roseau plaintif au bord de la rivière,"
▪ XLII. "La nuit, quand le vieux chêne aux flancs jaloux sommeille,"
▪ XLIII. "Pour couronner la blonde enfant aux yeux d'azur,"
▪ XLIV. "Dans ton décor naïf tu m'apparais, Jenny,"
▪ XLV. "Deux papillons faisaient l'amour sur une rose."
▪ XLVI. "Être le jeune Adam, grâce et force première,"
VI A ÉMile Krantz
▪ XLVII. "Dans la soudaine nuit d'une jarre de terre"
▪ XLVIII. "Sois pure comme la rosée,"
▪ XLIX. "Il a plu. Soir de juin. Écoute,"
▪ L. "Qui pleure à ma porte à la fin du jour ?"
▪ LI. "Chansons, chansons, chansons, chansons ;"
▪ LII. "Puisque l'ennui, pauvre homme,"
▪ LIII. "Ce coeur plaintif, ce coeur d'automne,"
VII AUTOMNE, A MR LAFARGUE
▪ LIV. "Ô veille de Toussaint et dernier soir d'octobre !"
▪ LV. "Le tiède après-midi paisible de septembre"
▪ LVI. "Je pense à la maison tranquille, ô mon ami,"
VIII L'INQUIETUDE DE DIEU
▪ LVII. "Ce serait bon : donner toute sa vie à Dieu"
▪ LVIII. "En vérité, je vous le dis, heureux les simples"
▪ LIX. "Jardinier, jardinier, que ta maison soit gaie,"
▪ LX. "Ce coeur, mon Dieu, qu'avec des pleurs de sang je t'offre"
▪ LXI. "L'amour humain, seigneur, est un jardin stérile,"
▪ LXII. "Le sable clair du temps fuit des plus larges mains."
▪ LXIII. "Celui qui n'a que sa tristesse pour génie,"
▪ LXIV. "Entrerai-je, ce soir, seigneur, dans ta maison,"
▪ LXV. "Le sombre ciel lacté se voûte en forme d'arche."
▪ LXVI. "Heureux l'homme qui vit dans la simplicité"
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