Maurice BOUCHOR (1855-1929)
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LES POËMES DE L'AMOUR ET DE LA MER
1876
I LA FLEUR DES EAUX
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▪ ENVOI ▪ I. "L'air est plein d'une odeur exquise de lilas" ▪ II. "Je m'étais enivré d'espace et de ciel bleu ;" ▪ III. "Les feuilles dans les bois commencent à roussir," ▪ IV. "Le vent dans les rochers sifflait et mugissait ;" ▪ V. TES YEUX ▪ VI. "J'ai rencontré mon idéal" ▪ VII. ÉLÉGIE ▪ VIII. "Je mettrai sur ta bouche entr'ouverte et fleurie" ▪ IX. "La mer tranquille et grande, reine" ▪ X. "Je t'aime comme la santé," ▪ XI. "La nuit était tranquille et ténébreuse ; à peine" ▪ XII. MADRIGAL ▪ XIII. "Nous nous aimerons au bord d'un sentier" ▪ XIV. "Amour, pensers d'amour, rêves subtils et doux," ▪ XV. "Mignonne, es-tu dévote et fais-tu ta prière ?" ▪ XVI. "Ce jour-là, vous songiez. Qui pouvait remplir, chère," ▪ XVII. "O ma chère, qu'il t'en souvienne ! Et qu'il te plaise," ▪ XVIII. "Je meurs d'amour, je suis amoureux comme un chien" ▪ XIX. "S'il me fallait mourir le premier soir d'amour" ▪ XX. LA NUIT BIENHEUREUSE ▪ XXI. "En revenant, je regardais" ▪ XXII. LE DUO DES AMOUREUX ▪ XXIII. L'AUTRE NUIT ▪ XXIV. "Mignonne, il est des hypocrites" ▪ XXV. TES CHEVEUX ▪ XXVI. "« Vous m'avez appelée, et moi j'ai répondu ;" ▪ XXVII. "Malgré tant de chansons sur tes yeux et ta bouche," ▪ XXVIII. CHANSON ▪ XXIX. "On entendait encore au loin, dans l'air du soir," ▪ XXX. "Pourquoi regardes-tu toujours l'horizon triste" ▪ XXXI. "Mais si cette nature est triste, que t'importe," ▪ XXXII. "M'aimes-tu ? le caprice ou le besoin d'aimer" ▪ XXXIII. "J'ai pendant longtemps caressé ce rêve" ▪ XXXIV. "Et nous coucher ensemble, immobiles et froids," ▪ XXXV. "N'as-tu pas des frissons parfois ?" ▪ XXXVI. "Non, les baisers d'amour n'éveillent point les morts !" ▪ XXXVII. "Je regardais la mer où venait se mirer" ▪ XXXVIII. "L'automne est passé, l'hiver est venu," ▪ XXXIX. SÉRÉNADE EN HIVER ▪ XL. "Après avoir marché sur la route durcie" ▪ XLI. "Réveille la vigueur de tes sens épuisés" ▪ XLII. AND GOOD NIGHT INDEED ▪ XLIII. "C'est une belle nuit glacée," ▪ XLIV. "Le dernier oiseau de l'année" ▪ XLV. "Le stupide hasard qui gouverne le monde" ▪ XLVI. "Car toi seule es pour moi la jeunesse du monde ;" ▪ XLVII. "Quel son lamentable et sauvage" ▪ XLVIII. "Le ciel tranquille sur nos têtes" ▪ XLIX. "Elle devait partir au point du jour. Mes yeux" ▪ L. "Oh ! par le ciel qui fut si tranquille et si bleu,"
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II LA MORT DE L'AMOUR
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▪ I. "J'étais l'enfant sacré de la grande Nature," ▪ II. "Paris, terrible et grand — aussi grand que la mer," ▪ III. CHANT D'AMOUR ▪ IV. "Nos souvenirs, toutes ces choses" ▪ V. "C'est novembre. C'est le mois" ▪ VI. LE SOUVENIR ▪ VII. "Moi, par la neige et par la bise," ▪ VIII. "Mon amour d'antan, vous souvenez-vous ?" ▪ IX. "Ses cheveux avaient les parfums étranges" ▪ X. "Les souvenirs les plus lointains" ▪ XI. "Las ! où sont les neiges d'antan ?" ▪ XII. "Me rappelant, l'âme charmée," ▪ XIII. "Tu t'en venais à moi par les longs soirs d'hiver" ▪ XIV. "Aimée, aux jours lointains où nous nous reverrons," ▪ XV. "Quand verrons-nous comme autrefois" ▪ XVI. "Souviens-toi ! c'était un matin d'automne," ▪ XVII. "Par les larmes que j'ai versées" ▪ XVIII. "Tout m'obsède. Le bruit incessant des voitures," ▪ XIX. EN MER ▪ XX. "J'ai revu le jardin où nous avions aimé ;" ▪ XXI. "Nos sentiers aimés s'en vont refleurir" ▪ XXIII. "Dans votre solitude, ô bois sombres et doux," ▪ XXIV. "Que le vaisseau léger, que la lune propice," ▪ XXV. PRINTEMPS TRISTE ▪ XXVI. "Non, ce n'est pas l'hiver, le printemps ni l'automne" ▪ XXVII. "Si quand je te contemple, ô reine de folie," ▪ XXVIII. "Le vent roulait les feuilles mortes ; mes pensées" ▪ XXIX. "Bonsoir ! Et pourquoi donc me regarder ainsi ?." ▪ XXX. "Est-ce donc qu'il est vrai, dans cette âpre vallée" ▪ XXXI. "C'est bien fini, le temps de compter jusqu'à trois," ▪ XXXII. "Il faisait une nuit merveilleusement belle ;" ▪ XXXIII. LA SYMPHONIE DES SANGLOTS ▪ XXXIV. "Le vent était bien doux, la lune était bien fine," ▪ XXXV. "Il ne nous reste donc, après tant de nuits folles," ▪ XXXVI. "Nous voguions en mer sous les étoiles ;" ▪ XXXVII. "Mon âme quelquefois me semble triompher" ▪ XXXVIII. "Le temps des lilas et le temps des roses" ▪ XXXIX. "C'est le vent qui m'a fait pleurer," ▪ XL. "L'année est morte, ding dong !" ▪ XLI. "De quoi pouvions-nous bien parler, un soir de mai," ▪ XLII. "Une nuit orageuse et toute sombre. A peine" ▪ XLIII. "A présent, sur la route où je marche éperdu," ▪ XLIV. LA VENGEANCE DES ÉTOILES
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III L'AMOUR DIVIN
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▪ I. "Qu'ai-je donc ? le printemps me trouble et me soulève." ▪ II. "Comme des cavaliers innombrables, les flots" ▪ III. "Entre le ciel et l'eau j'ai cheminé longtemps," ▪ IV. LA MER AMOUREUSE ▪ V. "L'air était doux. C'était l'heure où le jour décline ;" ▪ VI. AUTREFOIS ▪ VII. AUJOURD'HUI ▪ VIII. MATIN ▪ IX. LES FÉERIES DE LA MER ▪ X. "O bon soleil, par qui tout se métamorphose," ▪ XI. "Que la brise du ciel est légère et joyeuse," ▪ XII. "L'air m ?enveloppe et me caresse ;" ▪ XIII. "Mon cœur saigne en voyant passer les belles filles," ▪ XIV. "Sans but, j'ai devant moi cheminé nuit et jour" ▪ XV. "N'est-il pas un remède, et ne guérit-on pas ?" ▪ XVI. "Pourquoi tenter d'aimer ? Solitaire et farouche," ▪ XVII. "Une nuit je marchais dans la campagne obscure ;" ▪ XVIII. "Tu m'as tendu les bras, ô puissante déesse," ▪ XIX. "Dans les splendeurs orientales" ▪ XX. "Éteignant ses pâles étoiles," ▪ XXI. "Allons, la mer est belle et la brise se lève," ▪ XXII. A LORD BYRON ▪ XXIII. "Par une nuit d'été délicieuse et triste" ▪ XXIV. "L'océan qui roule sa plainte" ▪ XXV. L'ART ▪ XXVI. "Nous portons les flambeaux qui doivent luire au monde," ▪ XXVII. POUR LE JOUR DES MORTS ▪ XXVIII. "Hélas ! il est trop vrai, le temps seul est vainqueur" ▪ XXIX. "Les mendiants sans pain qui vont vendant des fleurs" ▪ XXX. "Vin de topaze, d'or, de rubis, d'améthyste," ▪ XXXI. "Je suis donc enfermé dans cette étroite chambre." ▪ XXXII. "Adieu la mer ! je suis repris" ▪ XXXIII. "Oui, pour Dieu. Je ferai palpiter dans les cieux" ▪ XXXIV. ÉPILOGUE
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