Victor HUGO (1802-1885)
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TOUTE LA LYRE
1888-1893
▪ "Aie une muse belluaire,"
I
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▪ I. "Les nuages volaient dans la lueur hagarde," ▪ II. LES ÉVANGÉLISTES ▪ III. "Comme leurs yeux troublés de sentiments contraires" ▪ IV. BOURGEOIS PARLANT DE JÉSUS-CHRIST ▪ V. "Du songe universel notre pensée est faite ;" ▪ VI. INSCRIPTION ▪ VII. "Quand Auguste mourut, Rome, donnant l'exemple," ▪ VIII. "Quand le vieux monde dut périr, sombre damné," ▪ IX. ÈRE DES CÉSARS ▪ X. "Le Mausolée est beau, vaste, admirable à voir ;" ▪ XI. INVOCATION DU MAGE - CONTRE LES DEUX ROIS ▪ XII. "Fuyez au mont inabordable !" ▪ XIII. "Le calife a puni les gens de la montagne." ▪ XIV. "— Tu volais donc mes bœufs." ▪ XV. LE PASSAGE DES ÊTRES SOMBRES ▪ XVI. "Le Campéador, l'homme honnête et sans ennui," ▪ XVII. "Muse ! paix aux bergers, et paix aux laboureurs !" ▪ XVIII. "Éole allait criant : Bacchus m'a pris mon outre." ▪ XIX. LE VIEUX DE BRISACH ▪ XX. "La bête regarda l'homme venir vers elle." ▪ XXI. "..........................................................................." ▪ XXII. HUGO DUNDAS ▪ XXIII. ÉCRIT SUR LE MUR DE VERSAILLES - À CÔTÉ DU CORDON DE SONNETTE DE LOUIS XIV ▪ XXIV. LA PEAU DE TIGRE ▪ XXV. "Oui, duc, nous sommes beaux, et nous avons l'amour" ▪ XXVI. "Les révolutions, ces grandes affranchies," ▪ XXVII. "Quinze cents ans avaient fait sur l'homme la nuit ;" ▪ XXVIII. TALAVEYRA - RÉCIT DE MON PÈRE ▪ XXIX. ÉCRIT SUR UN LIVRE - DU JEUNE MICHEL NEY ▪ XXX. À UN SOLDAT DEVENU VALET ▪ XXXI. "Qu'était-ce que l'enfant ? qu'était-ce que la mère ?" ▪ XXXII. "Au bord des flots, au sein des sombres Babylones," ▪ XXXIII. LES DEUX CÔTÉS DE L'HORIZON ▪ XXXIV. "Oh ! je suis monstrueuse et les autres sont belles !" ▪ XXXV. BALMA ▪ XXXVI. "Les mères ont senti tressaillir leurs entrailles." ▪ XXXVII. "J'ai vu pendant trois jours de haine et de remords" ▪ XXXVIII. ÉCRIT AU BAS D'UN PORTRAIT - DE MADAME LA DUCHESSE D'ORLÉANS ▪ XXXIX. VIRO MAJOR ▪ XL. "Ô Georges, tu seras un homme. — Tu sauras"
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II
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▪ I. "Me voici ! c'est moi ! rochers, plages," ▪ II. "Je ne vois pas pourquoi je ferais autre chose" ▪ III. LETTRE ▪ IV. "Quand la lune apparaît dans la brume des plaines," ▪ V. "… Une tempête" ▪ VI. "Nous marchons ; il a plu toute la nuit ; le vent" ▪ VII. "Le matin, les vapeurs, en blanches mousselines," ▪ VIII. "Seigneur, j'ai médité dans les heures nocturnes," ▪ IX. ÉGLOGUE ▪ X. "Le soir calme et profond se répand sur la plaine." ▪ XI. "On devient attentif et rêveur, on s'attend" ▪ XII. "David, le marbre est saint, le bronze est vénérable." ▪ XIII. "Je me fais paysan comme eux. Cela te fâche ?" ▪ XIV. AUX CHAMPS ▪ XV. "Nature ! âme, ombre, vie ! ô figure voilée !" ▪ XVI. "Un monument romain dans ce vieux pré normand" ▪ XVII. "Les paupières des fleurs, de larmes toujours pleines," ▪ XVIII. L'ÉTÉ À COUTANCES ▪ XIX. À GUERNESEY ▪ XX. GROS TEMPS LA NUIT ▪ XXI. DANS MA STALLE ▪ XXII. "C'est l'heure où le sépulcre appelle la chouette." ▪ XXIII. SOIR ▪ XXIV. "Nuit, tu me fais l'effet ce soir, ô nuit glacée," ▪ XXV. QUAND NOUS QUITTIONS AVRANCHES ▪ XXVI. "..........................................................................." ▪ XXVII. JARDINS DE LA MARGRAVE SIBYLLE ▪ XXVIII. "Seul dans tes grands bois, seul dans tes grandes pensées," ▪ XXIX. CE QUE C'EST QUE DE SORTIR - EN EMPORTANT UN NUMÉRO DU CONSTITUTIONNEL ▪ XXX. "Seul au fond d'un désert, avez-vous quelquefois" ▪ XXXI. "Cette création, t'a semblée immortelle," ▪ XXXII. "Ne vous croyez ni grand, ni petit ! Contemplez." ▪ XXXIII. "Dans les ravins la route oblique" ▪ XXXIV. NUIT ▪ XXXV. "L'aube est moins claire, l'air moins chaud, le ciel moins pur ;" ▪ XXXVI. "L'espace est noir, l'onde est sombre ;" ▪ XXXVII. "Ô poëte ! pourquoi tes stances favorites" ▪ XXXVIII. "Dans cette ville où rien ne rit et ne palpite," ▪ XXXIX. À DOS D'ÉLÉPHANT ▪ XL. SOIR ▪ XLI. UN DESSIN D'ALBERT DÜRER ▪ XLII. "Qui donc mêle au néant de l'homme vicieux" ▪ XLIII. O RUS ▪ XLIV. "C'est l'hiver. Ô villes folles," ▪ XLV. "Où donc est la clarté ? Cieux, où donc est, la flamme ?" ▪ XLVI. UNITÉ ▪ XLVII. "Ô champs mystérieux ! Vallons ! Éden visible !" ▪ XLVIII. ARRIVÉE ▪ XLIX. "..........................................................................."
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III
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▪ I. EFFETS DE RÉVEIL ▪ II. "Quand l'enfant nous regarde, on sent Dieu nous sonder." ▪ III. LA FEMME ▪ IV. "Aucune aile ici-bas n'est pour longtemps posée." ▪ V. "— Ô femmes ! chastetés augustes ! fiertés saintes !" ▪ VI. "Si le sort t'a fait riche, aie au bien l'âme prompte." ▪ VII. À CEUX QUI FONT DE PETITES FAUTES ▪ VIII. "Devant les cieux qu'emplit un vague aspect d'effroi," ▪ IX. "Quant à l'obscurité que tu dis éternelle," ▪ X. "L'homme est faible ; il n'a pas encor trouvé sa loi." ▪ XI. "Voilà l'homme. Qui donc a dit : l'homme est sublime !" ▪ XII. "Que d'escarpements ! L'esprit songe," ▪ XIII. "Ah ! la philosophie est vorace ! il lui faut" ▪ XIV. "Parce que tu ne sais, toi l'homme, ce que font" ▪ XV. "Qui donc passe au-dessus de nous, ô Dieu de l'ombre," ▪ XVI. "Rends-tu de temps en temps des services à Dieu ?" ▪ XVII. "Ceux par qui le malheur sur les innocents tombe," ▪ XVIII. "L'espoir mène à des portes closes." ▪ XIX. "Y pensez-vous ? l'état à l'église mêlé !" ▪ XX. "Ce que vous appelez dans votre obscur jargon :" ▪ XXI. "Jeunes gens, prenez garde aux choses que vous dites." ▪ XXII. ÉPITAPHES D'ENFANTS ▪ XXIII. LA GUERRE QUI EST DANS L'AVENIR - IMPORTUNE LES DEVINS ▪ XXIV. "Ah ! prenez garde à ceux que vous jetez au bagne !" ▪ XXV. "Un homme est innocent ; son voisin le dénonce." ▪ XXVI. "Oh ! que l'homme n'est rien et que vous êtes tout," ▪ XXVII. À PAUL M. ▪ XXVIII. "Vous êtes, ô jeune homme, une noble nature," ▪ XXIX. "À mesure qu'au loin s'éclipse" ▪ XXX. NUIT ▪ XXXI. "L'homme croit avoir fait un pas dans l'inconnu" ▪ XXXII. "— Les écrivains sont tous plus ou moins des démons." ▪ XXXIII. EN SORTANT D'UNE ÉGLISE ▪ XXXIV. "Quand l'honneur est tombé, rien ne reste debout." ▪ XXXV. CONTEMPLATION, CONSOLATION ▪ XXXVI. "Là-haut, sœur du forfait et sœur de l'innocence," ▪ XXXVII. "Une nuit je rêvais, et je vis dans mon rêve" ▪ XXXVIII. "Je rêve une nature innocente et meilleure ;" ▪ XXXIX. DANS LE CIMETIÈRE DE*** ▪ XL. "Un jour que je songeais, à Dieu, j'ai reconnu" ▪ XLI. À OL. ▪ XLII. INSCRIPTION DE SÉPULCRE ▪ XLIII. "Sombres aboyeurs des ténèbres," ▪ XLIV. "Nous sommes deux familles d'hommes :" ▪ XLV. UMBRA ▪ XLVI. DIEU SUIT SA VOIE ▪ XLVII. "Qui sait si tout n'est pas un pourrissoir immense ?" ▪ XLVIII. "Tu veux comprendre Dieu, mais d'abord comprends l'homme ;" ▪ XLIX. "La haine, tantôt fière, effrontée, ingénue," ▪ L. "Prends-tu l'humanité pour la cause finale ?" ▪ LI. À CEUX QUI SONT PETITS ▪ LII. "Ô gloire, les héros, les esprits souverains," ▪ LIII. "Les hommes sont à l'œuvre en leur antre profond," ▪ LIV. LE MAL ▪ LV. "Ô douceur, sainte esclave ! ô bonté, sainte reine !" ▪ LVI. "Synthèse, dit le ciel… L'homme dit : Analyse !" ▪ LVII. "Souffrance, es-tu la loi du monde ?" ▪ LVIII. "Ne laissez rien partir sans adieu que la tombe" ▪ LIX. "Homme, les avatars et les métempsychoses" ▪ LX. "Qu'est-ce que ta sagesse et que ton jugement ?" ▪ LXI. "L'homme étreint dans ses bras, l'obstacle, comme Hercule." ▪ LXII. "Quelle idée as-tu donc de la mort, vain penseur ?" ▪ LXIII. "Les anges du Seigneur passent de temps en temps ;" ▪ LXIV. "Homme, pourquoi nier ce que tu ne vois point ?" ▪ LXV. "Au nom de ce qui vit, paix à ce qui n'est, plus !" ▪ LXVI. "Vous dont la part est la meilleure," ▪ LXVII. "Le calcul, c'est l'abîme." ▪ LXVIII. "Collabore avec Dieu ; prévois, pourvois ; prends soin" ▪ LXIX. "… Des sages ?" ▪ LXX. MATÉRIALISME ET SPIRITUALISME
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IV
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▪ I. "Autrefois, dans les temps de la lumière pure," ▪ II. "........................................................................" ▪ III. "Sur la coupe où le vin mousse et se précipite," ▪ IV. "........................................................................" ▪ V. "Homère, sous le poids du destin sombre, expire ;" ▪ VI. "L'expiation triste et le sort, nœud de fer," ▪ VII. "Quand le poète est las, ce grand esprit banni," ▪ VIII. "Quand tout un continent tremble au souffle électrique," ▪ IX. "Aux heures où le ciel est noir, où l'astre est clair," ▪ X. "Oh ! tandis que ! le roi, brisant murs et palais," ▪ XI. "Quand tu marches, distrait, dans la ville où tout passe," ▪ XII. "Honte au vain philosophe, à l'artiste inutile" ▪ XIII. À UN GRAND COMÉDIEN ▪ XIV. "Lorsque j'étais enfant, sortant de rhétorique," ▪ XV. "L'hexamètre, pourvu qu'en rompant la césure," ▪ XVI. "Doux poètes, chantez ! Dans vos nids, sous la feuille," ▪ XVII. "Écoutez la voix touchante" ▪ XVIII. "Pour nous, nouveaux venus, qui voyons l'astre éclore," ▪ XIX. BONHEUR D'ADMIRER ▪ XX. À PROPOS D'UNE GRILLE DE BON GOÛT ▪ XXI. "Shakspeare alors, nourri d'affronts et de huées," ▪ XXII. "Les instruments sont pleins de la voix du mystère." ▪ XXIII. ÉCRIT SUR UN VIRGILE ▪ XXIV. "Dans le monde meilleur que rêve mon caprice," ▪ XXV. "........................................................................" ▪ XXVI. LE RIRE ▪ XXVII. "… Autant j'aime un livre, autant je hais" ▪ XXVIII. "La nature, éternelle mère," ▪ XXIX. "Thiers raille Mazzini ; Pitt raille Washington ;" ▪ XXX. "Quand ce charmant petit poète gracieux" ▪ XXXI. "Oui, le Génie a ses athées." ▪ XXXII. "C'est une loi : Veuillot existe, ce maroufle ;" ▪ XXXIII. À UN POËTE ▪ XXXIV. LE DEVOIR ▪ XXXV. POURQUOI LES GRANDS HOMMES SONT MALHEUREUX ▪ XXXVI. À THÉOPHILE GAUTIER
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V
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▪ IÀ LOUIS B.. "Non, je n'ai point changé. Tu te plains à tort, frère." ▪ II. "— Admire, enfant ! souvent aux marins de Messine" ▪ III. À UNE RELIGIEUSE ▪ IV. "À cette heure indécise où le jour va mourir," ▪ V. "La France, ô mes enfants, reine aux tours fleuronnées," ▪ VI. "L'autre jour, ami cher, ami de vingt années," ▪ VII. "Vous êtes bien des fois venus dans ma demeure" ▪ VIII. À OL. ▪ IX. "........................................................................" ▪ X. "À cette heure de nuit où l'homme vague et trouble," ▪ XI. "Le couchant flamboyait à travers les bruines" ▪ XII. "Virgile, en ce beau mois, je sens moins les douleurs ;" ▪ XIII. "Le bien germe parfois dans les ronces du mal." ▪ XIV. "Mon âme était en deuil ; c'était l'heure de l'ombre." ▪ XV. JE TRAVAILLE ▪ XVI. "........................................................................" ▪ XVII. "Quand je marche à mon but auguste" ▪ XVIII. "Ô toi qui m'as maudit dans tes souffrances sombres," ▪ XIX. À UN ENFANT ▪ XX. "Je marchais ; j'entendais, comme tombait la nuit," ▪ XXI. "J'ai mené parfois dure vie," ▪ XXII. À DEUX ENFANTS AMIS ▪ XXIII. D.G.D.G. ▪ XXIV. LE SOIR ▪ XXV. LETTRE DE L'EXILÉ - ARRIVANT DANS LE DÉSERT ▪ XXVI. "Ô doux êtres ! ma joie et mon amour sacré !" ▪ XXVII. "À l'heure où le soleil se couche," ▪ XXVIII. "........................................................................" ▪ XXIX. À JEANNE ▪ XXX. "Si dans ce grand Paris, ô charmante infirmière" ▪ XXXI. CALOMNIÉ ▪ XXXII. SOUFFRE, Ô PRÉCURSEURS ! ▪ XXXIII. "L'aquilon change, et met la poupe où fut la proue ;" ▪ XXXIV. AVE, DEA : MORITURUS TE SALUTAT ▪ XXXV. ENVOI ▪ XXXVI. "Pygmée et Myrmidon, c'est haine et calomnie." ▪ XXXVII. "Je la revois, après vingt ans, l'île où Décembre" ▪ XXXVIII. "Je ne m'arrête pas, jamais je ne séjourne ;" ▪ XXXIX. "Je vais dans la fureur du gouffre, dans l'écume," ▪ XL. "Un vieillard est souvent puni de sa vieillesse" ▪ XLI. À MADAME D'A.-SH. ▪ XLII. "Vous qui, vainqueurs, avez mis, depuis vingt-cinq ans," ▪ XLIII. "Tu nous regardes, Nuit, grande passante noire ;" ▪ XLIV. "Ah ! vous faites du froid devoir vôtre bonheur !" ▪ XLV. "La haute honnêteté, c'est là toute ma gloire." ▪ XLVI. "L'enfant est très petit et l'aïeul est très vieux." ▪ XLVII. "Je suis enragé. J'aime et je suis un vieux fou." ▪ XLVIII. ÉCHAPPÉ À L'ERREUR ▪ XLIX. APRÈS L'HIVER ▪ L. "— Qu'es-tu, pèlerin ? — Je me nomme" ▪ LI. "Le vieillard chaque jour dans plus d'ombre s'éveille." ▪ LII. "Tu rentreras comme Voltaire"
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VI
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▪ I. "Lorsque ma main frémit si la tienne l'effleure," ▪ II. "Oh ! si vous existez, mon ange, mon génie," ▪ III. "Vois-tu, mon ange, il faut accepter nos douleurs." ▪ IV. "Ce qu'en vous voyant si belle" ▪ V. "Vous m'avez éprouvé par toutes les épreuves," ▪ VI. "Sais-tu ce que Dieu dit à l'enfant qui va naître ?" ▪ VII. "Certe, elle n'était pas femme et charmante en vain ;"
VIII ROMAN EN TROIS SONNETS
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▪ I. "Fille de mon portier ! l'Érymanthe sonore," ▪ II. "Je ne vous cache pas que je suis amoureux," ▪ III. "Une étoile du ciel me parlait ; cette vierge"
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▪ IX. "Il suffit de bien peu de chose" ▪ X. HERMINA ▪ XI. "Oh ! la femme et l'amour ! inventions maudites !" ▪ XII. "J'étais le songeur qui pense," ▪ XIII. L'AMOUR VIENT EN LISANT ▪ XIV. "Elle vit que j'étais en train de lire Homère." ▪ XV. "Vous ne la fuyez pas, oiseaux, petits farouches," ▪ XVI. COMMENCEMENT D'UNE ILLUSION ▪ XVII. "Ô bonheur d'être aimé ! Félicité suprême !" ▪ XVIII. TOUTE LA VIE D'UN CŒUR ▪ XIX. "L'amour n'est plus l'antique et menteur Cupido," ▪ XX. "Or nous cueillions ensemble la pervenche." ▪ XXI. "Il était une fois un caporal cipaye," ▪ XXII. "Un coup de vent passa, souffle leste et charmant" ▪ XXIII. QUINZE-VINGT ▪ XXIV. "J'ai toujours redouté d'aborder une femme." ▪ XXV. "Qu'est-ce que cette année emporte sur son aile ?" ▪ XXVI. DANS UN VIEUX CLOÎTRE ▪ XXVII. "J'avais dans ma mansarde un buste de Platon," ▪ XXVIII. VIRGILE DANS L'OMBRE ▪ XXIX. "Oui, je suis le regard et vous êtes l'étoile." ▪ XXX. "N'est-ce pas, mon amour, que la nuit est bien lente" ▪ XXXI. "Je ne viens pas vous voir le jour ; voici pourquoi :" ▪ XXXII. "L'heure sonne. Un jour va naître." ▪ XXXIII. À DEUX SŒURS ▪ XXXIV. UN JOUR QU'ELLE M'AVAIT DIT : - DONNEZ-MOI VOS YEUX ▪ XXXV. NIVEA NON FRIGIDA ▪ XXXVI. À MADAME LA PRINCESSE SOPHIE GALITZINE ▪ XXXVII. À MADAME J*** ▪ XXXVIII. "Je ne sais pas pourquoi les femmes" ▪ XXXIX. PENDANT QU'ELLE DORT ▪ XL. LA FORÊT ▪ XLI. "Le prince de Joinville" ▪ XLII. "J'étais un lycéen honnête ;" ▪ XLIII. FURENS FŒMINA ▪ XLIV. "Cela la désennuie ; elle vit toute seule ;" ▪ XLV. CHANSON DE CELLE QUI N'A PAS PARLÉ ▪ XLVI. "Ô toi d'où me vient ma pensée," ▪ XLVII. DANSE EN ROND ▪ XLVIII. "Oh ! dis, te souviens-tu de cet heureux dimanche ?" ▪ XLIX. "Garde à jamais dans ta mémoire," ▪ L. "— Ah çà mais ! quelle idée as-tu, capricieuse," ▪ LI. À UNE IMMORTELLE ▪ LII. "Horace, et toi, vieux La Fontaine," ▪ LIII. "Bon empereur, vous êtes maître" ▪ LIV. "À force de rêver et de voir dans la plaine" ▪ LV. LES PÉRIPÉTIES DE L'IDYLLE ▪ LVI. "Je pressais ton bras qui tremble ;" ▪ LVII. AU BAL ▪ LVIII. "Nous étions, elle et moi, dans cet avril charmant" ▪ LIX. "Aujourd'hui Galatée aux lascives épaules" ▪ LX. DANGER D'ALLER DANS LES BOIS ▪ LXI. "Tous deux — est-ce à Tibur ? est-ce à Ville-d'Avray ?" ▪ LXII. L'OUTRAGE PEUT ÊTRE AUSSI DANS LA CARESSE ▪ LXIII. "La belle s'appelait mademoiselle Amable." ▪ LXIV. "Quand deux cœurs en s'aimant ont doucement vieilli,"
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VII
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▪ I. LA BLANCHE AMINTE ▪ II. LE PRINCE FAINÉANT ▪ III. CE QUE GEMMA PENSE D'EMMA ▪ IV. VASE DE CHINE - À LA PETITE CHINOISE Y-HANG-TSEI ▪ V. MAUVAISES LANGUES ▪ VI. "Danseuse, écoute-moi. Le Dieu du firmament" ▪ VII. LE PORCHE DE SAINT-LUC ▪ VIII. "L'hiver gronde et fait cent querelles," ▪ IX. "Oui, fût-on Homère, il faut rire ;" ▪ X. EN AFRIQUE ▪ XI. "........................................................................" ▪ XII. "À l'âge des bergeries," ▪ XIII. BRUIT DE GUITARE ▪ XIV. LA LUNE ▪ XV. "Le marquis de Bade a deux cornes ;" ▪ XVI. "Veux-tu vivre, être admiré," ▪ XVII. CHAQUE SIÈCLE A LE SIEN ▪ XVIII. "Il avait le front bas, le rire d'un pirate ;" ▪ XIX. "Messeigneurs, nous aurons pour lustre la grande Ourse." ▪ XX. "Fils, je veux dans ce conte, où vont venir les fées," ▪ XXI. QUAI DE LA FERRAILLE ▪ XXII. COMÉDIES NON JOUABLES QUI SE JOUENT SANS CESSE
XXIII
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▪ I. "J'adore Suzette," ▪ II. "Il était une fois" ▪ III. "Je suis Jean qui guette," ▪ IV. "L'oiseau passe" ▪ V. CANCION ▪ VI. CHANSON DE MAGLIA ▪ VII. CHANSON EN CANOT ▪ VIII. LA CHANSON DU SPECTRE ▪ IX. MARGOT ▪ X. "Rien n'est comme il devrait être." ▪ XI. MAGLIA, accordant sa guitare. ▪ XII. CHANSON DE BORD ▪ XIII. DANS LA FORÊT ▪ XIV. RONDE POUR LES ENFANTS ▪ XV. JEAN, JEANNE, JEANNOT ▪ XVI. LE CHANT DU VIEUX BERGER ▪ XVII. CHANT DES SONGES ▪ XVIII. HACQUOIL (Le Marin) ▪ XIX. AIR DE LA PRINCESSE D'ORANGE - I ▪ XIX. AIR DE LA PRINCESSE D'ORANGE - II ▪ XX. CHANT DU BOL DE PUNCH ▪ XXI. SÉRÉNADE ▪ XXII. LE CHÂTEAU DE L'ARBRELLES - DANSE EN ROND ▪ XXIII. "Le joli page imberbe" ▪ XXIV. CHANSONS DE GAVROCHE - I ▪ XXIV. CHANSONS DE GAVROCHE - II ▪ XXIV. CHANSONS DE GAVROCHE - III
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LA CORDE D'AIRAIN
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▪ À LA FRANCE DE 1872 ▪ I. APRÈS SEDAN ▪ II. À DES RÉGIMENTS DÉCOURAGÉS ▪ III. DESTRUCTION DE LA COLONNE - ACCEPTATION DU TRAITE PRUSSIEN ▪ IV. "La grande République a des griffes fatales." ▪ V. APRÈS L'ÉCROULEMENT DE L'HOMME ▪ VI. L'ORGIE DES MEURTRES ▪ VII. "Oui, l'on a sauvé l'ordre et l'état, et je crois" ▪ VIII. "En Belgique (et peut-être, hélas ! ailleurs encor !)" ▪ IX. À UN ROI DE TROISIÈME ORDRE ▪ X. ALSACE ET LORRAINE ▪ XI. LA LIBÉRATION DU TERRITOIRE ▪ XII. "Le lionceau songeait ; il était tout petit," ▪ XIII. "Ô royauté ! tas d'ombre ! amas d'horreur, d'effroi ;" ▪ XIV. "Quoi donc ! avoir pour but cette lâcheté, plaire !" ▪ XV. "Un grand sabre serait d'utilité publique :" ▪ XVI. AUX HISTORIENS ▪ XVII. VICTOIRES ET CONQUÊTES DE LA RELIGION ▪ XVIII. "Ô sombre femme, un jour, n'ayant plus de royaume," ▪ XIX. LA QUESTION SOCIALE ▪ XX. "........................................................................" ▪ XXI. "Jeunes hommes éclos sous l'empire rapace," ▪ XXII. RENTRÉE DANS LA SOLITUDE ▪ XXIII. "Ô princes insensés ! quoi ! ne tremblent-ils pas" ▪ XXIV. LE POËTE PREND LA PAROLE ▪ XXV. GRANDES OREILLES ▪ XXVI. "À de certains moments, l'homme juste est risible." ▪ XXVII. À VOUS TOUS
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ANNEXES
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▪ DROIT DE REPRENDRE HALEINE ▪ VISIONS DE LYCÉENS ▪ LA GRECQUE ET LA PARISIENNE ▪ LA FIGLIOLA ▪ JE SUIS NAÏF, TOI CRUELLE ▪ L'IDYLLE DE FLORIANE ▪ À UN RAT ▪ SOUS LES SAULES ▪ ÊTRE AIMÉ
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