Victor HUGO (1802-1885)
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LES QUATRE VENTS DE L'ESPRIT
1881
▪ "Je vis les quatre vents passer."
I LE LIVRE SATIRIQUE - — LE SIÈCLE —
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▪ I. INDE IRÆ ▪ II. "Lorsque j'étais encore un tout jeune homme pâle," ▪ III. "Ô sainte horreur du mal ! Devoir funèbre ! Ô haine !" ▪ IV. ÉCLIPSE ▪ V. "La satire à présent, chant où se mêle un cri," ▪ VI. VOIX DANS LE GRENIER ▪ VII. LE SOUTIEN DES EMPIRES ▪ VIII. ÉCRIT SUR LA PREMIÈRE PAGE D'UN LIVRE DE JOSEPH DE MAISTRE ▪ IX. SE LAISSER CALOMNIER ▪ X. À UN HOMME FINI ▪ XI. À ******* ▪ XII. ANIMA VILIS ▪ XIII. LITTÉRATURE ▪ XIV. À UN ÉCRIVAIN ▪ XV. LE MONT-AUX-PENDUS - (JERSEY) ▪ XVI. LE BOUT DE L'OREILLE ▪ XVII. L'ÉCHAFAUD ▪ XVIII. JOLIES FEMMES - — SONNET POUR ALBUM — ▪ XIX. "Cent mille hommes, criblés d’obus et de mitraille," ▪ XX. "La hache ? Non. Jamais. Je n’en veux pour personne." ▪ XXI. "C’est à coups de canon qu’on rend le peuple heureux." ▪ XXII. "Elle passa, je crois qu’elle m’avait souri." ▪ XXIII. SUR UN PORTRAIT DE SAINTE ▪ XXIV. ÉCRIT APRÈS LA VISITE D'UN BAGNE ▪ XXV. "Le spectre que parfois je rencontre riait." ▪ XXVI. LES BONZES ▪ XXVII. "Et les voilà mentant, inventant, misérables !" ▪ XXVIII. AUX PRÊTRES ▪ XXIX. "Muse, un nommé Ségur, évêque, m’est hostile ;" ▪ XXX. IDOLÂTRIES ET PHILOSOPHIE ▪ XXXI. "Le vieil esprit de nuit, d’ignorance et de haine" ▪ XXXII. "Parfois c’est un devoir de féconder l’horreur." ▪ XXXIII. "C’est bien ; puisqu’au sénat, puisqu’à la pourriture," ▪ XXXIV. "Il faut agir, il faut marcher, il faut vouloir." ▪ XXXV. "Paris, le grand Paris agonise. Je pense" ▪ XXXVI. "Soit, c’est dit. Tout n’est plus qu’une cendre qui vole." ▪ XXXVII. "Je suis haï. Pourquoi ? Parce que je défends" ▪ XXXVIII. "Oui, vous avez raison, je suis un imbécile." ▪ XXXIX. "Puisque je suis étrange au milieu de la ville," ▪ XL. "Ainsi nous n’avons plus Strasbourg, nous n’avons plus" ▪ XLI. "Qui que tu sois qui tiens un peuple dans ta main," ▪ XLII. DIEU ÉCLABOUSSÉ PAR ZOÏLE ▪ XLIII. ILS SONT TOUJOURS LÀ ▪ XLIV. FULGUR
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▪ DEUX VOIX DANS LE CIEL
▪ NOUS
III LE LIVRE LYRIQUE - — LA DESTINÉE —
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▪ I. "Je suis fait d’ombre et de marbre." ▪ II. AUX OISEAUX ET AUX NUAGES ▪ III. "Quand le bien et le mal, couple qui nous obsède," ▪ IV. "La calomnie immonde et qu’on jette en courant"
V
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▪ I. CHANSON D'AUTREFOIS ▪ II. CHANSON D'AUJOURD'HUI
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▪ VI. PRÈS D'AVRANCHES ▪ VII. "J’aime à me figurer, de longs voiles couvertes," ▪ VIII. "Coup d’épée ; oui, mais non de poignard. Il te faut," ▪ IX. EN ÉCOUTANT CHANTER LA PRINCESSE *** ▪ X. "Un hymne harmonieux sort des feuilles du tremble ;" ▪ XI. "Dieu ne frappe qu’en haut. Infimes que nous sommes !" ▪ XII. NUITS D'HIVER
XIII
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▪ I. CHANSON D'AUTREFOIS ▪ II. CHANSON D'AUJOURD'HUI
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▪ XIV. JERSEY ▪ XV. ANDROCLÈS ▪ XVI. À MA FILLE ADÈLE ▪ XVII. EN MARCHANT LE MATIN ▪ XVIII. "Un groupe tout à l’heure était là sur la grève," ▪ XIX. SUR LA FALAISE ▪ XX. "J’ai beau comme un imbécile" ▪ XXI. EN MARCHANT LA NUIT DANS UN BOIS ▪ XXII. LUEUR À L'HORIZON ▪ XXIII. SOUS TERRE ▪ XXIV. BESTIARIUM ▪ XXV. "Proscrit, regarde les roses ;" ▪ XXVI. "Une nuit qu’au milieu des bourrasques farouches," ▪ XXVII. PATI ▪ XXVIII. "En hiver la terre pleure ;" ▪ XXIX. "L’absolu, l’éternel. Rien après, rien avant." ▪ XXX. "Il est un peu tard pour faire la belle," ▪ XXXI. À MEURICE. — À VACQUERIE ▪ XXXII. TOURMENTE ▪ XXXIII. "Ma vie entre déjà dans l’ombre de la mort," ▪ XXXIV. ENTRÉE DANS L'EXIL ▪ XXXV. "L’immense Être inconnu sourit. L’aube réveille" ▪ XXXVI. "Oh ! Quoique je sois, sur la grève," ▪ XXXVII. EXIL ▪ XXXVIII. "Ô mon âme, en cherchant l’azur, ton vol dévie." ▪ XXXIX. "Tant qu’on verra l’amour pleurer, la haine rire," ▪ XL. LA NUIT - PENDANT QUE LES PÊCHEURS SONT EN MER ▪ XLI. DUO ▪ XLII. PENSÉES DE NUIT ▪ XLIII. "Quand Eschyle au vautour dispute Prométhée," ▪ XLIV. "Ô misérable amas de vanités humaines," ▪ XLV. "Le sommet est désert, noir, lugubre, inclément," ▪ XLVI. "Oui, la terre fatale, oui, le ciel nécessaire," ▪ XLVII. LETTRE ▪ XLVIII. PROMENADES DANS LES ROCHERS ▪ XLIX. RENCONTRE D'UNE PETITE FAGOTIÈRE ▪ L. À J. DE S… LABOUREUR À YVETOT - (MI-CARÊME DE 18..) ▪ LI. LE PARISIEN DU FAUBOURG ▪ LII. "Ô rois, de qui je vois les royaumes, là-bas," ▪ LIII. "J’ai coudoyé les rois, les grands, le fou, le sage," ▪ LIV. UNE ROUGEUR AU ZÉNITH ▪ LV. HORREUR SACRÉE ▪ LVI. "L’âme humaine est sans cesse en tous les sens poussée."
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▪ EN PLANTANT LE CHÊNE DES ÉTATS-UNIS D'EUROPE - DANS LE JARDIN DE HAUTEVILLE HOUSE LE 14 JUILLET 1870
▪ IV. LE LIVRE ÉPIQUE - — LA RÉVOLUTION —
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