Métrique en Ligne
Paul VALÉRY
(1871-1945)
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CORONILLA
1938-1945

I Sonnets à Jean Voilier
▪ ROMANCE
▪ CHANSON TROP VIVE
▪ "Mon Amour, qui vins sous mon toit"
▪ "Ô beau Soleil, tout entaché d'ennui,"
▪ À LA PROFONDE ROSE
▪ "Tant pis, m'amour, ce ne sont point des fleurs"
▪ À LA PÉTRARQUE
▪ NARCISSA
▪ « EN ACTE »
▪ "Fûtes-vous vrais, ou vaine rêverie,"
▪ SONNET
▪ LA CHANSON DE TREIZE HEURES CINQ
▪ SOUPIR DU SAMEDI ONZE
▪ "Fleur de mon Soir et miel de mon dernier breuvage"
▪ L'AVIS AU SOLEIL
▪ LE CHER DAIMÔN
▪ "Le Soleil frappe à la tête argentée"
▪ "Tu m'apparais dans un éclair"
▪ XLVI. "Me revoici dans ce lieu haut"
II Poèmes datés - (1938-1943)
▪ "ELLE était belle, avec un cœur plein de contrastes"
▪ "… Je m'éveille à mon nom que vous dites, peut-être ?"
▪ NOCTURNE II
▪ CHANSON MALGACHE
▪ "Il fait chaud… Je n'ai pas la force de t'écrire,"
▪ DIURNE… QUATRE, OU CINQ, OU SIX…
▪ CANZONE
▪ GOÛTER DE VITAMINES
▪ My dear Johnny,
▪ "Non, non… Ne croyez point que tout me soit si rose :"
▪ "Ce soir, Jeanne, m'accable une fatigue grande…"
▪ IMPROVIATTA
▪ "Ici, fort de son cœur, ferme comme la tour"
▪ - (poème en prose)
▪ "Mon enfant, ma sœur,"
▪ "Deux jours de jeûne"
▪ HEURE
▪ "Ma douce lointaine,"
▪ TITUS
▪ "Je n'ay soucy que de vostre fontaine"
▪ LE CHANT DU GABIER
▪ "AMOUR, tu pars… A peine un peu moins te verrai-je"
▪ BALLADE À L'AUBE
▪ "Je porte au cœur une maison secrète,"
▪ LA RONDE DU JOUR DE JEANNE
▪ "Je vais, je viens… Mais voici l'âme"
▪ "Tête châtaine où dort ce que je veux"
▪ POÉSIE
▪ LÀ-HAUT, AU CRÉPUSCULE…
▪ ODELETTE
▪ "OUI, mon cœur, tout me redit"
▪ "Dans mes cheveux"
▪ POÉSIE
▪ AUTRE CHANSON
▪ "Bonjour, mon Amie,"
▪ "Dirai-je ou non ce que ne daigne ouïr"
▪ IDYLLE TOURNEFORT
▪ "Amour chéri"
▪ "Ô mon petit ami, Dame toute d'affaires,"
III Poèmes sans date
▪ ÉLÉGIE
▪ "Que nous ornions ou fassions le silence"
▪ ÉPITRE AU VIDE
▪ "A peine au sortir du fer"
▪ - (poème en prose)
▪ POLYDORE
▪ CANTATE PERSONNELLE
▪ ODE TACTILE
▪ POUR LE POUDRIER
▪ "Ô plante vivace"
▪ À LA PLUS CHÈRE IDÉE
▪ LA SÉRÉNADE
▪ Ô BELLE NUIT
▪ "Ô palpitante, ô tendre"
▪ ODE VIVANTE
▪ MA CHÉRIE AMIE,
▪ XLVI. "Ô JOUR PREMIER, silence mémorable"
▪ "SOYT cet escript leu des yeux beaux que I'ayme"
▪ "Nous avons bien dormi, Vous et Moi… Chose étrange,"
▪ "Ma chère Vie,"
▪ ODE À LA FONT
▪ "Grande Belle que tout débauche"
▪ ODE À NOUS
▪ CHANSON DOLENTE
▪ "Ô que c'est long d'aimer sans voir ce que l'on aime…"
▪ COLLOQUE - (pour deux flûtes)
▪ TYPEWRITING MACHINE IMPROVISATION
▪ AS
▪ DIX JOURS AVEC…
▪ "T'aimer, presque muette et disparue, est dur"
▪ "Jeanne, doux cœur, ne lis-tu point"
▪ ELLE CHANTE :
▪ "Ô Belle Personne"
▪ "Belle… Oui. Mais plus tendre encore, et donc plus belle"
▪ "Te vêtir… Ô le paradoxe"
▪ « JOURS DE LUMIÈRE »
▪ POLYDORE
▪ AS
▪ LE BEAU DIMANCHE
▪ SUR LE BORD
▪ "Ô mon poison cher"
▪ "Encore un petit mot. Je ne puis te quitter."
▪ - (poème en prose)
▪ "Nous avons mal dormi, ma chère, l'un et l'autre."
▪ "Les moments forts, les moments doux,"
▪ "Ô dure"
▪ "ICI je pense à qui, peut-être, pense à moi ;"
▪ "Ferme les yeux ! Voici ma voix… voilà la palme"
▪ "Je te vois. Je te veux. Je soupire : Que n'ai-je"
▪ "Regarde. Aimes-tu pas cet amas détestable"
IV Derniers vers - (1945)
▪ "Voici belle, nos modèles,"
▪ DE CORONA NOSTRA
▪ "Tous les poisons que ta voix m'a versés,"
▪ AMIE EXTRÊME, Ô SUPRÊME ENNEMIE
▪ IL DISPERATO
▪ "Ô MA LUST, Donne-moi la force de te faire…"
▪ SEUL AU PLUS HAUT D'AMOUR…
▪ LONGUEUR D'UN JOUR…
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