Paul VALÉRY (1871-1945)
|
CORONA
1938-1945
▪ SONNET À NARCISSA
▪ ODE AU JASMIN
▪ LE SAULE
▪ "Parfois, je pense à ton enfance, et j'aime…"
▪ "Âme, quoi de plus tendre, aux cris du vent d'automne,"
▪ "Jeanne, ton corps me suit. Ô mains pleines de Jeanne,"
▪ "Ô PROUE en or de la plus noble nef,"
▪ ODELETTE NOCTURNE
▪ "Que ce rien vienne à ton réveil"
▪ "Polydore, Front beau"
▪ CHANSON D'UN SOU
▪ COURONNE DES DIMANCHES
▪ BUREAU LAPÉROUSE
▪ "La vie est vaine, à peine toi laissée ;"
▪ "Quoique tu ne sois point derrière moi dans l'ombre,"
▪ "Sans toi, pensant à toi, quand j'ai perdu le jour,"
▪ LE VŒU SANS TROP D'ESPOIR
▪ ABSENCE - (poème en prose)
▪ "Tu m'as dit que ton cœur n'est pas mystérieux…"
▪ "Nos cœurs se sont ouverts, nos crimes se sont bus"
▪ "Ma Bien-Aimée,"
▪ SONNET
|