| ÉCHO D’UNE GRANDE VOIX |
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À la manière de Dante Gabriel Rosseti.
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Ne vois-tu rien parmi les nuages du soir ? |
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Ouvre les yeux afin de voir et de mieux voir… |
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— Je regarde sans voir. |
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Ne vois tu rien venir de ce que tu redoutes ? |
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— Je regarde et je vois la poussière des routes |
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Les nuages du soir ! |
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Ne vois-tu rien venir cependant ? Ah ! regarde |
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Regarde ! Penche-toi, pleure, prie et regarde ! |
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— Je vois venir le soir ! |
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