LUNES |
IV |
AUTRE EXPLICATION |
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AMOUR qui ruisselais de flammes et de lait, |
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Qu’est devenu ce temps, et comme est-ce qu’elle est, |
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La constance sacrée au chrême des promesses ? |
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Elle ressemble une putain dont les prouesses |
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Empliraient cent bidets de futurs fœtus froids ; |
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Et le temps a crû mais dire, tels les effrois |
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D’un polype grossi d’heure en heure et qui pète. |
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Lâches, nous ! de nous être ainsi lâchés ! |
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Lâches, nous ! de nous être ainsi lâchés ! « Arrête ! |
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Dit quelqu’un de dedans le sein. C’est bien la loi. |
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On peut mourir pour telle ou tel, on vit pour soi, |
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Même quand on voudrait vivre pour tel ou telle ! |
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Et puis l’heure sévère, ombre de la mortelle, |
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S’en vient déjà couvrir les trois quarts du cadran. |
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Il faut, dès ce jourd’hui, renier le tyran |
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Plaisir, et se complaire aux prudents hyménées, |
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Quittant le souvenir des heures entraînées |
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Et des gens. Et voilà la norme et le flambeau. |
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Ce sera bien. » |
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Ce sera bien. » L’Amour : |
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Ce sera bien. » L’Amour : « Ce ne serait pas beau. » |
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