Métrique en Ligne
VER_17/VER702
Paul VERLAINE
CHAIR
Dernières Poésies
1896
ET DERNIÈRE
CAR mon cœur, jamais fatigué 8
D’être ou du moins de le paraître, 8
Quoi qu’il en soit, s’efforce d’être 8
Ou de paraître fol et gai. 8
5 Mais, mieux que de chercher fortune 8
Il tend, ce cœur, dur comme l’arc 8
De l’Amour en plâtre du parc, 8
A se détendre en l’autre et l’une 8
Et les autres : des cibles qu’on 8
10 Perçoit aux ventres des nuages, 8
Noirs et rosâtres et volages 8
Comme tels désirs en flocon. 8
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