Métrique en Ligne
NOU_4/NOU192
Germain NOUVEAU
LE MARON TRAVESTI
1903
LE MARON TRAVESTI
OU LA QUATRIÈME ÉGLOGUE DE VIRGILE
MISE EN VERS BURLESQUES PAR M LA GUERRIÈRE
A MONSEIGNEUR LE DUC DE…


Monseigneur,

D'UNE épître dédicatoire ce n'en est pas l'usage dans nos bois ; bonnement donc daignez souffrir que sous la haute protection de votre singe, chat ou perroquet je mette mon singe et mon pot.

Si canimus simios, simii sint tuo simio digni.

Quant au dit pot, le peut-il mettre
Sur le rebord de sa fenêtre ;

Ne lui en voudra du monde qui se dit ici

Monseigneur

avec toutes sortes de cris et de grimaces, de votre perroquet le très humble serviteur,

GERMAIN LA GUERRIÈRE
singe d'un LABRE.
LA QUATRIÈME ÉGLOGUE
Qui donc serait si pot
sous le règne où nous sommes
De Mons Diafoirus,
le plus sage des hommes,
Que d'aller sans le pot
de nos vents implorer…
Courons vite au sujet
soit dit sans rien serrer.
Non, l'on ne verra pas,
5 à moins que sous nos plumes,
Le fameux Vase d'or
des malades de Cumes ;
Que ce fou de Maron,
qui l'a vu dans ses bois,
Appelle, de son lit,
le Vase d'Autrefois ;
Car ce n'est que d'un pot
que chacun est en peine,
Et de singes déjà
10 la paroisse en est pleine.
L'on vit parler aux champs
de pots et de besoins
Mais d'un Saturne, non ;
d'une Rhée, encor moins ;
Enfin sur aucun pot,
nul Marat, que je sente
De nul petit Dauphin
ne fête la descente.
Je ne vois que Danton,
15 le marchand de poissons,
Qui vienne à ce concert
mêler d'odieux sons.
Ce singe, de rosa
grimpé jusqu 'en troisième
Ce pot de Maron plein
fait du Dauphin son thème.
Ma foi ! ton grand poisson,
Damon, ne me dit rien.
Fort de lui se passe on ;
20 et d'Hécate aussi bien :
Pour un avortement
en tous lieux comme à Baume
Il n'est rien à docteur
muni d'un bon diplôme.
Ça, Damon, raisonnons,
mais… sans raisonner tant
Car à trop raisonner
c'est le pot qu'on te tend :
Qu'un vieux pot de consul,
25 qui n'eut bruit, dont le plains-je,
De Mons Diafoirus,
professeur de beau singe,
Ait cru le marcellus
du lait d'Io formé
Qu'au Capitole en pots
l'on tenait renfermé,
C'est sottise après tout
si d'indulgence on use,
Qui des raisons du temps
30 peut tirer son excuse
Mais de nous qui pots pleins
de choses des savants
Pour avoir le jour vu
disons dessus les bancs
Grâce à Diafoirus
pouvons porter d'emblée
De Gueule au Singe en Pal,
de Mains Écartelée
De crier qu'ici bas,
35 du pot des Immortels
Va tomber ton saumon
pour nos maîtres d'hôtels
Serait folie en ville
aussi bien qu'à la halle
Dite des poissonniers
en langue médicale ;
A guetter dans les airs
la chute de ton thon
Nous pourrions attraper
40 du bonnet de coton :
Tiens que pour ton merlan
nul de nous n'a d'envie,
Et que fort nous suffit,
avec ou sans chimie,
Saignare, purgare,
dignus est intrare,
De ses petits Purgons
et Fleurants entouré
Les uns portant son pot,
45 les autres son clystère
Tel qu enfin l'on le voit
aux pompes du mystère.
Fût-il plus doux tableau
pour les yeux de nos preux ?
Crois-tu que ton anchois
nous rendrait plus heureux ?
Où trouver si bon roi
fût-ce en Yvetot même ?
Et quel nous regérait
50 sous plus joyeux dilemme :
Ou jouer, dans mes bois,
à vous chercher les poux,
Ou venir sur mon pot
de la chambre des fous.
Parbleu ! tu feras mieux,
Poisson, de ne pas naître,
Car tu n y gagnerais
que de trouver ton maître
Au lieu de ses féaux
55 les singes de sa cour ;
Pour chaleureux accueil
ce qu'on nomme un bon tour.
Loin de ? offrir en pots
les présents de Cybèle
Bondirait sa guenuche
à te chercher querelle ;
Il ne te garde icy
pour lierre et pour baccar
Que des pets de Monin,
60 ou les vesses du lar,
De colocase point
aux doigts de son gyzante
Et Cassalus pour toi
n'empota nulle achante.
Le galant Asculaphe,
en ce plaisant pays,
Ne dort plus que la nuit
à veiller sur ses nids
Car toujours le macaque
65 y vient mettre la patte ;
Et Baboin a toujours
l'air d'un vrai Viriathe.
De ton berceau marin
auraient tous nos sajous
Tôt fait d'en mettre tous
en sens dessus dessous ;
Comme ils sont toujours tous
au comble d'insolence
Si sont-ils toujours tous
70 au comble d'impudence
Frileux au dernier point
hormis au bas du dos,
Criant, montrant les dents,
renversant tous les pots,
Se moquant de Jupin
comme du Mèlampyge,
Et Fagotin aussi
que son maître corrige.
C'est lui qui vers le pot
75 où sevré l'on t'aurait,
Te ferait les honneurs
de la vieille forêt,
Qui te présenterait,
en ôtant son tricorne,
D'abord à ton Grand Sire
homme des bois fort morne,
A papa Chympanzé
qui n'est beaucoup plus gai,
Enfin à l'oncle orang
80 qu'on dit très outangué.
Il t'accompagnerait
aux leçons du gorille
Qui n'est pas le moins fou
de toute la famille,
Et par qui bon docteur,
qui vient de ce côté,
Est en cas d'atavisme
et cas d'hérédité.
Tu pourrais au Cèbus
85 faire ta révérence
Que Memphis eut jadis
en grande révérence ;
Hurler chez le hurleur
comme on chante chez nous,
Pleurer chez le pleureur
comme pots sous les coups,
Être en visite au soir
chez un crépusculaire
Voir le nocturne à l'heure
90 où rien plus ne l'éclaire.
Avec le beau moustac
être fleur de vos pois,
Faire avec le malbrouck
force butin de noix,
Pour conclure un matin
à quelque mariage
Avecque Callitrix
guenon du vert pelage,
Mais d'y voir l'Age d'or ;
95 et pour mon talapoin
Les serpents lui cueillir
des marrons cuits à point ;
En bateau d'Arion
se changer la morue
Pour tous nos babions
sonnant de la tortue ;
Se mettre au pot la Sphinge
en des robes à fleurs
Sans que besoin y fut
100 d'aucuns pots de couleurs ;
Le sagoin en Jason
coiffer pot ou salade ;
Le trembleur, en soudard
se rendre à la parade,
Ou laisser en dormant
notre singe-lion
Quelques rats s'approcher
du Fléau d'Ilion :
C'est là ce qu'en son pot
105 un anchois ne voit guère
Et qu'onc ne verra-t-on
sous la loi du clystère.
Tant que Diafoirus
par Vaccin et Ricin,
Régnera sur les sœurs
du singe-capucin
Qui font laver les pots
et prennent soin des linges
Dedans Amunadab
110 à l hôpital des singes ;
Régnera sur le vieux,
et le jeune « ab ovo »
Sur les laids du beau monde
et les nains du nouveau,
Sur le singe tout court
ou plus long que pithèque,
Sur le bel empaillé
de sa bibliothèque,
Et celui qu'il dissèque
115 avant que d'être mort,
Et le Grand-Paresseux
que sans peine il endort,
Et Jocko son barbier,
marquis de la pincette
Et Monsieur de Maki
son mignon de couchette
Et son audiencier
dit la Voix-de-tambour,
Et le singe aux navets
120 qu'il met cuire à son four
Et les deux que l'on voit
sa seringue lui ceindre :
Chez les sages des bois
pour en un mot les peindre
Comme aussi chez les fous
pour nous peindre en un mot,
Case d'or n'aura-t-on
même pour un marmot.
Vu qu'un tel Vase aidant,
125 même un bonnet-de-Chine
A la selle irait bien
sans prendre médecine
Si, corbleu ! vers cet âge,
au mépris du séné,
Ses sujets s'avisaient
d'avoir le nez tourné
Vite il ferait décret
qui par lochs et pommades
Nous viendrait tous guérir
130 de n'être plus malades.
Eh ! Qu'importe ! Est-ce que
le plus Vase enchanté
Vaudra jamais ce Pot…
de tous courru… flatté,
Caressé du prélat,
épousseté du prince,
L'Idole de Chaillot
comme de la province.
Seul le Bouillon pointu
135 pour les goûts plus pointus
A toutes les vertus…,
Comme en ses prospectus…,
Et si quelque poisson
trop plus naïf y touche
Plus gros poisson que lui
de lui fermer la bouche :
Il ne croit pas à l'âme
et vient nous la soigner.
C'est le comble du soin :
140 qui peut s'en indigner ?
Il donne à tous péchés
des noms de maladie.
— C'est pour qu'au vol aussi
sa bonté remédie.
Au plus petit indice
il parle d'hôpital
Où l'on loge gratis
à pied et à cheval1.
Tout pot persécuté
145 craint de l'avoir pour juge
— A tort car c'est chez lui
que l'on trouve refuge.
Tout singe s'agitant
devient son agité
— Qui vaut encore mieux
qu'être son alité.
Cependant il confond
folie avec démence
— C'est pour donner des soins
150 en plus grande abondance.
Mais sur nos libertés
il pousse les verroux
— Pour nous mieux prodiguer
tous ses soins les plus doux.
Vous qui filez nos jours…
C'est une rotruenge…
Vous qui filez… le nom
te semble-t-il étrange ?
Vous qui filez… Poisson,
155 de grâce, écoute-moi,
C'est pour avoir l'honneur
de danser devant toi.
Vous qui filez nos jours,
ô Parques filandières,
Vous les savez filer
de diverses matières
Et des fous de Bicêtre
où le flux a son cours
C'est de lin et de… hum !
160 que vous filez les jours.
Vous qui filez nos jours,
ô Parques filandières,
Vous savez les filer
de diverses manières
Et des fous de Bicêtre,
à tourner dans les cours,
C'est en ronds et carrés
que vous filez les jours.
Cependant qu'aux guenons,
165 ô Parques filandières,
Vous qui filez nos jours
de diverses manières,
Cependant qu'aux guenons
du voyage au long cours,
C'est en zig et en zag
que vous filez les jours !
Vous qui filez nos jours,
ô Parques filandières,
Si filez-vous les nuits
170 sous toutes les paupières
Et des fous de Bicêtre
à songer dans leurs lits
C'est de trônes2 dorés
que vous filez les nuits.
C'est là que d'ortolans,
ô Parques filandières,
Vous filâtes mes jours
quatre lunes plènières
Mais si que pour souper
175 je danse comme un ours,
Ce n'est le vermicelle
où vous filez toujours.
Nous ne tournons le vers
pour le plaisir de rire
Et les temps sont ingrats
plus qu'on ne saurait dire :
DONC, POISSON, VOLONTIERS
DES SOUS RECEVRAIT-ON3
Pour festiner ce soir,
180 la serviette au menton,
D'une blonde Cérès
à ses cheveux réduite,
Qui s'en plaint dans le pot
devant qu'être bien cuite
Ici, sœur d'un poignard
qui ne fut guères beau,
Qui poignard se croyait
et n'était qu'un couteau.
Cependant le Magot
185 juché sur le pinacle
Est aujourd'hui du monde
et le pôle et l'oracle.
C'est par lui que réglés
sont tous nos bonds et sauts
Et tous leurs contenus
dosés dans tous nos pots.
Singe de Jupiter,
se grattant près du maître,
« Mortel, semble-t-il dire,
190 apprends à me connaître ».
Il voit tourner bien loin
la terre sous ses pieds
Et ses pots les plus grands
lui semblent encriers ;
C'est de là-haut qu'il dicte
arrêtés, ordonnances,
Décrets, commandements
et permis et défenses
Primo, défense à tous
195 de rire et de tousser
Quand de Diafoirus
le pot vient à passer :
Nous décrétons pour tous
l'utile obligatoire
Que chacun ait son pot
dans sa petite armoire ;
Ensuite ordre est donné
de punir du bouillon
Ceux qui feraient du fou
200 comme le sieur Solon
Ou feraient du muet
comme un citoyen Brute
Ou voudrait de David
imiter pied qui butte.
Quoiqu'il ait sans nul pot
accouché les esprits,
Nous tolérons au Grec
un groin des moins petits,
Idem à Jeanneton,
205 fille de tolérance,
Qui fit avec ses Voix
redouter notre lance.
A moins donc que d'accourre
à ton franc étrier
Sur l'ordre de Vatel
pour la sauce au laurier
Ou coiffé d'un bonnet,
symbole de sagesse,
Tirant à toi Platon
210 en état de grossesse,
Tu ne seras, Poisson,
chez notre maître admis
Qu'à ses sujets d'étude
et très petits amis :
Il te voudra d'abord
visiter les méninges
Et dès le premier jour
te mettra de ses singes.
Vois-le déjà venir
215 au bruit de ton plongeon
De ses chasses du Mans
ou sa pinche à donjon,
Entre son basset Charle
et la bassette Cice,
Te flairer longuement
chez les doms de l'office.
Heureux si tu n'en fais
d'abord en ton arroy
Qu autant qu'autre poisson
220 en a fait avant toi !
Heureux si tu n'en dis
plus tard en ta harangue
Qu'autant qu'autre poisson
en dauphinoise langue ;
Mais que si par lapsus
et par malentendu
Tu parlais d'une corde
où singe soit pendu…
( C'est exemple entre mille,
225 il est d'autre folie)
« Çà vite, dira-t-il,
qu'aussitôt l'on le lie! »
Et de chercher de ce
la cause dans le cou,
Dans le pied, dans la main,
dans le dur, dans le mou,
La tête, le poumon
et la rate et le foie,
En ce qui dans le pot
230 n'est pas du caca d'oie,
Voire au trou de tes vents
ou plus ou moins rieurs,
Ou bien en maladie
et trouble antérieurs :
Fièvre, congestion,
chute, coup et blessure,
Comme aussi dans bouton,
verrue, égratignure,
Que, s'il te plaît fumer,
235 dans les pots de tabacs,
Dans la brise de mer
si tu ne fumes pas…
Que diras-tu, Poisson,
si tu te tais, mutisme
Et, si tu veux souffler,
fâcheux paralogisme !
Et nous te coifferons
du casque de Mentor
Et nous aurons, ma foi !
240 le contraire de tort.
Car pourquoi viendrais-tu ?
que pour rien faire et dire.
Aussi bien qu'un magot
qui mieux que toi sait frire,
Aurait la Poule-au-pot
dessus le sien, je croi,
Appris de ce Quinaud
à bien faire du roi
Et, pourrais-je ajouter
245 s'il était rime à ogre,
Son neveu dit Soleil
à bien faire d'un ogre
Qui vous happe les gens
sans lettre de cachet,
Sans Monsieur d'Artagnan,
dans son fort les cache, et
De son fou de conserve
à la sauce Bastille
Déjeune tous les jours
250 à Sainte-Camomille ;
Ou pour crime vas-tu
(ma foi ! c'est un abus !)
De n'être pas dévot
à ce tyran en us
Qui des quatre moyens
de prendre une posture,
Qu'ont les singes reçus
d'une dame Nature :
Être debout, assis,
255 à genoux, et couché.
Eût le numéro trois
volontiers retranché
Pour nous ramener tous
mille siècles arrière
Au temps où l'on n'avait
d'usé que le derrière !
Et voilà notre roi
qui le veut prendre haut,
Dans son discours du trône,
260 après l'heure du pot,
Qui veut gouverner seul
et nous et nos épouses,
Véritable don Juan
à les rendre jalouses,
Qui les vifs réglemente
et les morts plus terreux,
N'ont congé d'être morts
qu'il n'ait pissé contre eux,
Qui règne sur nos cœurs
265 et sur les cataplasmes,
Qui sur nos âmes règne
et règne sur nos asthmes,
Et règne sur nos goûts
dont il sait les défauts
Et sur nos sentiments
qu'il mesure à ses pots,
Qui règne, dessus mer
aussi bien que sur terre,
Sur tous les animaux
270 voire sa belle-mère,
Sur tous les ouistitis
et sur les deux vieillards,
Sur les pots des métiers
et sur les pots des arts,
Sur la religion
et sur la politique,
L'éthique, l'esthétique,
et sur la statistique
Et sur et cœtera,
275 si qu'il ne laisse rien
Que de régner sous lui
chacun sur son maintien,
Ce qui nous semble à nous,
carpillons de rivière,
Pot au lait, pot au vin,
pot de cidre et de bière,
De miel, de fleurs, de fard,
à coler le tenon,
Et ne serait pour toi
280 que pot de potion.
Connais, Poisson, connais
ton maître à sa grimace,
Ne te mets en chemin
quelque beau temps qu'il fasse.
De quitter ton bocal
serait mal à propos.
Vois le fils de Thésée
à cette heure aux Échos
Qu'à Charenton demain
285 on mettra, j'imagine,
Car voici ce qu'hier
il a dit chez Racine :
HIPPOLYTE
Le dessin4 en est pris (kleptomanie)
je pars (aliéné migrateur) cher Théramène
Et quitte le séjour
de l'aimable Trézène. (folie affective)
Dans le doute (folie du doute) mortel
(lypémanie)dont je Suis agité (agité)
Je commence à rougir (alcoolisme)
290 de mon oisiveté. (paralysie générale)
Depuis plus de SIX Mois (folie raisonnante)
éloigné de mon père, (persécution)
J'ignore le destin
d'une tête si chère, (folie des coiffeurs)
J'ignore encor les lieux… (perversion des odeurs…
atrophie des nerfs olfactifs…)
Que si tu t'obstinais
quand mêmes à venir
Et que, déjà réduit
295 à son pot lui tenir,
Tu tombasses un jour
en agoraphobie
Ou dans théomanie
ou mégalomanie,
De l'exaltation
en la dépression
Ou délire entraînant
classification5,
Ou folie empruntée
300 au mal syphilitique,
Ou bien au mal étique,
ou bien au mal phtisique,
Ou dans folie encor
dite des cuisiniers,
Teinturiers, chaudronniers,
vitriers, plâtriers :
Tout cela se guérit
en acceptant asile,
En te mettant au pot
305 d'une façon civile,
En écoutant ton cul
sonner l'enterrement,
En prenant ton tombeau
philosophiquement.
Pégase.
Celui de Diafoirus.
M. Germain La Guerrière
 45, rue Mouffetard,
 (Hôtel meublé) Paris.
Vieille orthographe.
Taximanie ou folie scientifique, c'est le cas de Diafoirus.
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