III |
LES ÉLÉVATIONS |
LA SOLITUDE |
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Quoi ! vais-je m'attrister d'un long jour solitaire ? |
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Reprocherai-je au sort son indigent éclat ? |
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Plus poignant est l'ennui, plus il est salutaire ; |
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Aidons le doux réseau du temps à se défaire ; |
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N'est-il pas juste, ô cieux ! que l'on se sente las, |
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Et que déjà pour nous tout commence à se taire, |
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Puisqu'il faudra, pourtant, être un mort dans la terre… |
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