III |
LES ÉLÉVATIONS |
EN CES JOURS DÉCHIRANTS… |
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En ces jours déchirants où le Destin me brave |
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Et lentement me vainc, Seigneur, soutenez-moi, |
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Jusqu'au mystique instant que mon cœur entrevoit, |
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Où je confesserai que la douleur est suave ; |
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Déjà son huile sainte a pénétré mes os ; |
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Je renonce à vouloir, à désirer, à vivre ; |
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Quand l'instinct est rompu, les âmes volent haut… |
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Douleur, c'est votre poids sacré qui me délivre ; |
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C'est par votre grandeur qu'on atteint au repos… |
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