Métrique en Ligne
MUS_4/MUS116
Alfred de MUSSET
POÉSIES POSTHUMES
1824-1857
A ma Mère
SUR L’AIR DE : Femmes, voulez-vous éprouver…
Après un si joyeux festin, 8
Zélés sectateurs de Grégoire, 8
Mes amis, si, le verre en main 8
Nous voulons chanter, rire et boire, 8
5 Pourquoi s’adresser à Bacchus ? 8
Dans une journée aussi belle 8
Mes amis, chantons en « chorus » 8
A la tendresse maternelle. (bis.) 8
Un don pour nous si précieux, 8
10 Ce doux protecteur de l’enfance, 8
Ah ! c’est une faveur des cieux 8
Que Dieu donna dans sa clémence. 8
D’un bien pour l’homme si charmant 8
Nous avons ici le modèle ; 8
15 Qui ne serait reconnaissant 8
A la tendresse maternelle ? (bis.) 8
Arrive-t-il quelque bonheur ? 8
Vire, à sa mère on le raconte ; 8
C’est dans son sein consolateur 8
20 Qu’on cache ses pleurs ou sa honte. 8
A-t-on quelques faibles succès, 8
On ne triomphe que pour elle 8
Et que pour répondre aux bienfaits 8
De la tendresse maternelle. (bis.) ! 8
25 Ô toi, dont les soins prévoyants, 8
Dans les sentiers de cette vie 8
Dirigent mes pas nonchalants, 8
Ma mère, à toi je me confie. 8
Des écueils d’un monde trompeur 8
30 Écarte ma faible nacelle. 8
Je veux devoir tout mon bonheur 8
A la tendresse maternelle. (bis.) 8
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