LE PREMIER LIVRE DES STANCES |
XVI |
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Je songe aux ciels marins, à leurs couchants si doux, |
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À l’écumante horreur d’une mer démontée, |
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Au pêcheur dans sa barque, aux crabes dans leurs trous, |
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À Néère aux yeux bleus, à Glaucus, à Protée. |
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Je songe au vagabond supputant son chemin, |
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Au vieillard sur le seuil de la cabane ancienne, |
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Au bûcheron courbé, sa cognée à la main, |
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À la ville, à ses bruits, à mon âme, à sa peine. |
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