FLEURS DE BOUE |
DRÔLES ET SEIGNEURESSES |
DIT AU CLUB |
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« Ah, l’aventure est neuve et piquante. |
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« Ah, l’aventure est neuve et piquante. En décembre |
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Je connais la comtesse ; un front veiné d’azur, |
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Des yeux battus, fort beaux : l’aspect d’un fruit trop mûr, |
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Qui pourrit doucement avec des senteurs d’ambre. |
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On m’avait prévenu. |
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On m’avait prévenu. « Te voilà nommé membre |
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« Du cercle des Passants, m’avait dit Jean, un pur. |
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« C’est au mois. » |
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« C’est au mois. » — « Ah, vraiment, dis-je à cet ami sûr, |
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« Bon, je la lâcherai pour sa femme de chambre. » |
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C’était assez coquet. |
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C’était assez coquet. Le mois voulu passé, |
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« Je viens vous annoncer, chère, une impolitesse, |
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« J’ai vu par votre hôtel certain minois rosé, |
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« Que j’ai mis en voiture. » |
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« Que j’ai mis en voiture. » — « Enfin, dit la comtesse, |
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« Vous avez de l’esprit. Moi je suis la maîtresse |
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« D’Harry votre cocher. » |
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« D’Harry votre cocher. » Elle m’avait croisé. |
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