LES MONTREURS |
I |
PARADE |
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« À la lutte, à la lutte, ohé, génie et gloire ! |
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« Qui veut voir en maillot, en chemise, en collant |
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« Poudrés d’or ou reins nus les hommes de talent. |
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« Voici les fils publics et les montreurs de foire ! |
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« Le gars normand ? — Présent. À chaque assaut, victoire. |
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« Trapu, la chair épaisse et le poil rutilant, |
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« C’est le coup littéraire au solide relent, |
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« L’homme étalon du jour ! |
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« L’homme étalon du jour ! Cet autre à toison noire |
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« Qui se carre en jonglant, beau comme un dieu d’airains |
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« C’est le poète aimé, l’acrobate à tous crins |
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« De l’unique et divine hystérique moderne ! |
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« Messieurs, voyez mes bras ! » |
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« Messieurs, voyez mes bras ! » « Monsieur, voyez mes reins » |
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« Madame, voyez mon… » |
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« Madame, voyez mon… » Et dans Paris caverne |
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Bout le boniment fou des poètes foirains. |
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