PREMIÈRE PARTIE | |||||||||||||||||||||||||||
(1867-1870) | |||||||||||||||||||||||||||
Il est malade !!! | |||||||||||||||||||||||||||
(Sur l'air : — Des Fraises) | |||||||||||||||||||||||||||
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Paris,
Ier Septembre 1869.
1
L'Officiel et les journaux officieux, en parlant de la maladie
de Napoléon III, essayaient de rassurer le public. Mais la cote de la Bourse répondait chaque jour, par une baisse rapide, aux affirmations des dits journaux et donnait la mesure de la confiance et de la sécurité que l'on peut avoir et trouver dans un gouvernement personnel, lorsque la fortune publique est à la merci d'une colique royale ou impériale.
2
Ce cousin… C'est-à-dire Jérôme Bonaparte, qui depuis son
discours de Chalons, cherchait à renverser Napoléon III.
3
L'Empire tremble sur sa base ; un vent souffle qui menace de
le jeter à terre. Mais ce ne sera point pour ton profit, ô Jérôme Bonaparte ! — Plus de trône, ni pour toi, ni pour personne ! |