FAMILLE |
LA ROSE FLAMANDE |
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C’est là que j’ai vu Rose Dassonville, |
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Ce mouvant miroir d’une rose au vent. |
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Quand ses doux printemps erraient par la ville, |
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Ils embaumaient l’air libre et triomphant. |
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Et chacun disait en perçant la foule : |
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« Quoi ! belle à ce point ?… Je veux voir aussi… » |
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Et l’enfant passait comme l’eau qui coule |
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Sans se demander : « Qui voit-on ici ? » |
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Un souffle effeuilla Rose Dassonville. |
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Son logis cessa de fleurir la ville, |
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Et, triste aujourd’hui comme le voilà, |
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C’est là ! |
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Rue de la Maison de Ville, a Douai.
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