| AMOUR |
| LA VOIX D’UN AMI |
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Si tu n’as pas perdu cette voix grave et tendre |
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Qui promenait ton âme au chemin des éclairs |
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Ou s’écoulait limpide avec les ruisseaux clairs, |
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Éveille un peu ta voix que je voudrais entendre. |
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Elle manque à ma peine, elle aiderait mes jours. |
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Dans leurs cent mille voix je ne l’ai pas trouvée. |
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Pareille à l’espérance en d’autres temps rêvée, |
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Ta voix ouvre une vie où l’on vivra toujours ! |
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Souffle vers ma maison cette flamme sonore |
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Qui seule a su répondre aux larmes de mes yeux. |
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Inutile à la terre, approche-moi des cieux. |
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Si l’haleine est en toi, que je l’entende encore ! |
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Elle manque à ma peine ; elle aiderait mes jours. |
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Dans leurs cent mille voix je ne l’ai pas trouvée. |
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Pareille à l’espérance en d’autres temps rêvée, |
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Ta voix ouvre une vie où l’on vivra toujours ! |
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