RONDELS POUR APRÈS |
RONDEL |
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Il fait noir, enfant, voleur d'étincelles ! |
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Il n'est plus de nuits, il n'est plus de jours ; |
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Dors … en attendant venir toutes celles |
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Qui disaient : Jamais ! Qui disaient : Toujours ! |
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Entends-tu leurs pas ?… Ils ne sont pas lourds : |
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Oh ! les pieds légers ! — l'Amour a des ailes… |
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Il fait noir, enfant, voleur d'étincelles ! |
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Entends-tu leurs voix ?… Les caveaux sont sourds. |
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Dors : Il pèse peu, ton faix d'immortelles : |
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Ils ne viendront pas, tes amis les ours, |
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Jeter leur pavé sur tes demoiselles… |
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Il fait noir, enfant, voleur d'étincelles ! |
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