LES AMOURS JAUNES |
DÉCLIN |
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Comme il était bien, Lui, ce Jeune plein de sève ! |
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Âpre à la vie O Gué !… et si doux en son rêve. |
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Comme il portait sa tête ou la couchait gaîment ! |
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Hume-vent à l'amour !… qu'il passait tristement. |
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Oh comme il était Rien !… — Aujourd'hui, sans rancune |
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Il a vu lui sourire, au retour, la Fortune ; |
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Lui ne sourira plus que d'autrefois ; il sait |
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Combien tout cela coûte et comment ça se fait. |
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Son Cœur a pris du ventre et dit bonjour en prose. |
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Il est coté fort cher … ce Dieu c'est quelque chose ; |
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Il ne va plus les mains dans les poches tout nu… |
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Dans sa gloire qu'il porte en paletot funèbre, |
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Vous le reconnaîtrez fini, banal, célèbre… |
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Vous le reconnaîtrez, alors, cet inconnu. |
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