|
Oh ! comme tu vieillis ! tu n'en es pas moins belle ; |
12 |
|
Ton front au poids des ans refuse de fléchir. |
12 |
|
La rose de ta lèvre est peut-être éternelle, |
12 |
|
Puisque pleurs ni baisers, rien n'a pu la flétrir ! |
12 |
5 |
Oh ! comme tu vieillis ! Je te retrouve toute, |
12 |
|
Comme autrefois, — après deux ans d'amour cueillis ! |
12 |
|
Mais sur ce cœur à toi, ton cœur frissonne et doute… |
12 |
|
Pauvre enfant, comme tu vieillis ! |
8 |
|