Métrique en Ligne
BAN_6/BAN295
Théodore de BANVILLE
ODELETTES
1856
A Alphonse Karr
Que de fois sous les tilleuls, 7
Tous deux seuls 3
Avec ma maîtresse blonde, 7
Ton livre m'a fait songer, 7
5 Étranger 3
A tout le reste du monde ! 7
Je m'alanguissais, à voir 7
Son œil noir, 3
Et, me répétant : Je t'aime ! 7
10 Sans songer au lendemain, 7
Dans sa main 3
Elle tenait le poëme. 7
Oh ! les charmants écoliers ! 7
Vous mêliez 3
15 Votre voix et votre haleine 7
Et vos soupirs amoureux, 7
Couple heureux, 3
O Stéphen, ô Magdeleine ! 7
Tel, au mois couleur du jour 7
20 Où l'amour 3
A la terre se marie, 7
Au fond des vertes forêts 7
Je pleurais 3
Sur les genoux de Marie ! 7
25 Telle Eunice emporte Hylas ! 7
Puis, hélas ! 3
Tout s'enfuit de la mémoire, 7
L'oubli vient, puis le remord, 7
Puis la mort, 3
30 C'est bien l'éternelle histoire. 7
Il en est une autre aussi, 7
Dieu merci ! 3
Douce à mon âme inquiète : 7
Roméo tombe au printemps, 7
35 A vingt ans, 3
Auprès de sa Juliette ! 7
Il sort par un beau matin 7
Du festin, 3
Plein de jeunesse et de sève, 7
40 Et meurt les yeux embrasés 7
De baisers : 3
Mais, celle-là, c'est le rêve ! 7
logo du CRISCO logo de l'université