Métrique en Ligne
P = préposition
C = clitique
M = voyelle masculine
F = "e" féminin
| = césure
TRA_1/TRA72
Gabriel TRARIEUX
CONFITEOR
1891
RÉVÉLATION DE SAINT-JEAN, LE THÉOLOGIEN.
« Et Philippe lui dit : « Viens, et Vois. »
Heureux celui qui lit, qui sait et qui comprend ! 6+6 a
Oui, le siècle est mauvais, oui, le monde est souffrant, 6+6 a
Mais l'Amour du Dieu fort accomplit son mystère 6+6 a
Irrésistiblement, et, déjà, sous la terre 6+6 a
5 Des germes sont cachés qui prendront leur essor. 6+6 a
Écoutez : le Sauveur, qui tient les clés du Sort, 6+6 a
Hier, m'est apparu dans son linceul de gloire ; 6+6 a
Il m'a ravi, moi, Jean, hors du Temps, et l'histoire 6+6 a
Soudain s'est déroulée, immense, devant moi. 6+6 a
10 Que ceux à qui viendront ces paroles aient foi ! 6+6 a
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
I
Voici : J'ai vu, d'abord vague dans la nuit grise, 6+6 a
Une Ombre qui semblait une femme : l'Église ; 6+6 a
Et lorsqu'elle eut grandi, plus nette sous les cieux, 6+6 a
Je connus qu'elle était fort belle : de ses yeux 6+6 a
15 Une clarté filtrait, pareille à l'Aube rose ; 6+6 a
Ses lèvres avaient l'air d'une fleur fraîche éclose, 6+6 a
Et son front pâle, ceint d'un diadème noir, 6+6 a
Brillait comme un lac pur sous les arbres, le soir. 6+6 a
Dans la plaine muette et de brume voilée, 6+6 a
20 Sereine ainsi qu'un lys jailli d'un mausolée, 6+6 a
Assise, elle épiait d'un regard calme et doux 6+6 a
L'Homme, son triste amant, penché sur ses genoux, 6+6 a
Et, sous le firmament fleuri d'étoiles claires, 6+6 a
Lui murmurait ce chant où tremblaient des prières : 6+6 a
25 « Je suis la Messagère adorable ; Je suis 6+6 a
« Celle que, dans le songe anxieux de leurs nuits, 6+6 a
« Les vieux Prophètes ont aimée ; 8 a
« Celle que, fou d'extase, entrevit Salomon, 6+6 b
« Celle que les voix d'or des harpes de Sion 6+6 b
30 « Dans les jours d'exil ont nommée. » 8 a
« J'apporte du ciel bleu la mystique liqueur, 6+6 a
« L'amour du Dieu Très-Haut, saint breuvage du cœur, 6+6 a
« Pour emplir sa coupe profonde ; 8 a
« Pareille à l'Astre roi des flots éblouissants 6+6 b
35 « Qui les attire à lui, je sais des mots puissants 6+6 b
« Qui feront tressaillir le monde. 8 a
« O toi qui vas marchant par un rude chemin, 6+6 a
« Toi dont la Fatalité triste tient la main 8+4 a
« Et dont l'Ombre aveugle étreint l'âme, 8 a
40 « Homme sans foi vivante et sans mâle vertu 6+6 b
« Chez qui l'espoir chancelle et succombe, abattu, 6+6 b
« Repliant ses ailes de flamme, 8 a
« Lève les yeux et vois : sur la terre, aujourd'hui, 6+6 a
« Les peuples accablés gémissent dans la nuit 6+6 a
45 « Où brille seul le front des Sages ; 8 a
« Mais à l'horizon blême, ainsi qu'il est écrit, 6+6 b
« Ce défi rayonnant et calme, Jésus-Christ, 6+6 b
« Se lève à travers les orages ! 8 a
« Viens donc, ô mon amant, reposer sur mon sein ; 6+6 a
50 « Pour endormir tes maux, les hymnes, par essaim, 6+6 a
« S'envoleront, frais, de mes lèvres ; 8 a
« J'oindrai tes pieds saignants d'une essence de prix ; 6+6 b
« Viens ; mes baisers seront doux à tes yeux meurtris 6+6 b
« Et feront s'assoupir tes fièvres. 8 a
55 « Je t'apprendrai le sens de la vie, et comment 6+6 a
« Tu pourras d'un cœur humble, inébranlable, aimant, 6+6 a
« Vider les plus amers calices, 8 a
« Conduire sans faillir ton âme errante au port, 6+6 b
« Et fuir, dans l'envolée immense de la mort, 6+6 b
60 « Vers l'Éternité des délices !… » 8 a
Telle, incantation pure, la Voix parlait ; 6+6 a
Et, dans la paix du soir limpide et violet, 6+6 a
Je voyais se redresser l'homme, et sa prunelle 8+4 a
Briller d'une clarté plus vivace et plus belle… 6+6 a
II
65 Puis, un grand vent passa : La vision s'enfuit. 6+6 a
Lors, je vis, dans le gouffre sans bords de la nuit, 6−6 a
Une autre forme, étrange et gigantesque, éclore 6+6 a
Qui remplit l'horizon : c'était l'Église encore, 6+6 a
Mais l'Église superbe et souveraine, ayant 6+6 a
70 Je ne sais quelle énigme en son masque effrayant. 6+6 a
Son corps victorieux dans un nimbe de gloire 6+6 a
Éclatait, étendu sur un grand lit d'ivoire ; 6+6 a
Une tiare d'ombre élargissait son front… 6+6 a
Au loin, des cris erraient dans l'espace sans fond ; 6+6 a
75 De sinistres lueurs rougissaient les ténèbres 6+6 a
Qui semblaient échapper à des bûchers funèbres ; 6+6 a
Et, frissonnant, j'ouïs pour la seconde fois, 6+6 a
Mais âpre et dure alors, vibrer la même Voix : 6+6 a
« Gloire à Moi ! Gloire à Moi pour les siècles sans nombre ! 6+6 a
80 « Disait-elle ; Je tiens les terres et les flots ; 6+6 b
« J'ai pour hymne le bruit éternel des sanglots ; 6+6 b
« Les sujets et les rois se courbent sous mon ombre. 6+6 a
« Que pourrais-tu sans Moi, sans mon bras tout-puissant, 6+6 a
« Fils d'Ève qu'a marqué le céleste anathème, 6+6 b
85 « Toi qui nais dans l'angoisse et succombes de même, 6+6 b
« Ver de terre vautré dans la fange et le sang ? 6+6 a
« Être déchu, ton Dieu t'a soumis à la peine 6+6 a
« Du travail sans espoir, sans relâche et sans fin ; 6+6 b
« Ta douloureuse vie est un long cri de faim ; 6+6 b
90 « Tu rampes justement sous l'opprobre et la haine. 6+6 a
« Moi seule, je connais le secret du Salut, 6+6 a
« Je peux ravir ton âme à la perte annoncée ; 6+6 b
« Mais il faut me livrer ta chair et ta pensée 6+6 b
« Et plier sous mon joug, si tu veux être élu. 6+6 a
95 « A genoux ! A genoux sous la haire farouche ! 6+6 a
« La malédiction de ta race est sur toi, 6+6 b
« À genoux sans gémir ! Le silence est ta loi ; 6+6 b
« Étouffe de tes poings le râle de ta bouche !… 6+6 a
« Sinon, si le Malin l'emporte et t'éblouit, 6+6 a
100 « Va, cède au leurre exquis des profanes chimères, 6+6 b
« Va l… Tu pras bientôt ces transports éphémères, 6+6 b
« Dans l'enfer implacable à jamais enfoui ! » 6+6 a
La Voix sombre se tut lorsqu'elle eut dit ces choses. 6+6 a
Un deuil empli d'effroi régnait aux cieux moroses ; 6+6 a
105 Un éclair y jaillit, resplendissant et prompt… 6+6 a
Et je vis un fantôme humain courber son front… 6+6 a
III
Longtemps, sous mes yeux clos, l'apparition brève 6+6 a
Vint me hanter encor d'un fixe et morne rêve ; 6+6 a
Et quand je relevai les paupières, je crus, 6+6 a
110 Un instant, voir surgir les spectres disparus. 6+6 a
L'Église siégeait là toujours, de feu vêtue ;… 6+6 a
Mais soudain, sa victime à ses pieds abat tue, 6+6 a
L'Homme, le défaillant et lugubre forçat, 6+6 a
Debout en face d'elle, à son tour, se dressa. 6+6 a
115 Il se dressa, géant, sur la face du monde ; 6+6 a
Son regard s'éclaira d'une splendeur féconde, 6+6 a
Et pâle encor, mais calme, et d'un verbe hardi, 6+6 a
Levant son bras puissant vers l'horizon, il dit : 6+6 a
« O Reine ! Aux jours lointains des extases premières 6+6 a
120 « Je suis venu vers toi d'un généreux élan : 6+6 b
« Tu m'as meurtri la face et rougi les paupières, 6+6 a
« Et ton poignet de fer laisse mon cœur sanglant. 6+6 b
« Mais tu connaissais mal mon énergie, ô Reine, 6+6 a
« Si tu croyais dompter son invincible flux. 6+6 b
125 « Voici : j'ai disloqué les chnons de ma chaîne ; 6+6 a
« Implore ou maudis-moi ! Je n'obéirai plus ! 6+6 b
« Je n'obéirai plus à ta voix menteresse 6+6 a
« Qui parlait de remords, d'offense et d'abandon : 6+6 b
« Si la vie est effort, l'effort est allégresse, 6+6 a
130 « Et c'est blasphémer Christ de souffrir en son nom ! 6+6 b
« Je n'obéirai plus : Jéhovah, ton idole, 6+6 a
« S'éclipse comme un songe au fond des cieux ouverts ; 6+6 b
« Dans l’Infini profond où mon regard s'envole, 6+6 a
« Il faut un nouveau Maître au nouvel Univers ! 6+6 b
135 « Maître inconnu toujours, mais vers lequel mon âme 6+6 a
« Puisse au moins diriger son vol illimité, 6+6 b
« Comme un aigle, au sortir d'une prison infâme, 6+6 a
« Monte au royal soleil s'abreuver de clarté… 6+6 b
« Couche-toi donc, Fantôme, en l'immense ossuaire 6+6 a
140 « Où ton frère divin, le Paganisme, dort ! 6+6 b
« Que ta pourpre te fasse un splendide suaire : 6+6 a
« Je n'obéirai plus, et ton règne est bien mort ! » 6+6 b
Le vol des mots à peine avait passé, rapide, 6+6 a
Que la Nuit par l'éther s'épandit plus livide ; 6+6 a
145 Je ne pus qu'entrevoir, sous le désert des cieux, 6+6 a
L'Homme et l'Église en face, et les yeux dans les yeux… 6+6 a
IV
Un grand silence alors s'établit, — un silence 6+6 a
Où l'on sentait germer dans l'ombre une œuvre immense, 6+6 a
Fruit d'un labeur pénible à la fois et divin. 6+6 a
150 Des rumeurs, bruits sans nom, naissaient, mouraient… Enfin 6+6 a
L'Aube au regard humide apparut dans la plaine, 6+6 a
Et, lente, fit glisser sa lueur incertaine 6+6 a
Sur un monument sombre et superbe : un tombeau. 6+6 a
Un cadavre y dormait, si paisible et si beau 6+6 a
155 Qu'on eût dit que la Mort, devant sa forme exquise, 6+6 a
Avait craint de frapper. Je reconnus l'Église, 6+6 a
Et, triste à ses côtés, encor qu'il fût vainqueur, 6+6 a
L'Homme, qui laissait fuir ces accents de son cœur : 6+6 a
« Puisque tes yeux sont clos par la paix éternelle, 6+6 a
160 « Puisque la grande Mort te couvre de son aile 6+6 a
« Et de son deuil sacré, 6 a
« O Toi qui m'as cau tant de joie et d'alarmes, 6+6 b
« Je ne veux en ce jour te donner que les larmes 6+6 b
« D'un amour épuré ! 6 a
165 « Je ne veux plus savoir si naguère mon âme 6+6 a
« N'a pas longtemps saigné sous l'angoisse d'un drame 6+6 a
« A peine enseveli ; 6 a
« Que les Heures de fiel, d'agonie et de fièvres 6+6 b
« Éteignent le sanglot convulsif de leurs lèvres 6+6 b
170 « Dans l'éternel oubli ! 6 a
« Ah ! je sais seulement qu'un soir, lugubre et pâle, 6+6 a
« Je m'étais étendu dans l'Ombre sépulcrale, 6+6 a
« Sans croire au lendemain, 6 a
« Et que m'apparaissant ce soir même, ô Prêtresse, 6+6 b
175 « Miséricordieuse à ma lâche détresse, 6+6 b
« Tu m'as saisi la main ! 6 a
« Je sais qu'à tes genoux taisant mon vieux blasphème 6+6 a
« J'ai vu, dans un éclair d'espérance suprême, 6+6 a
« S'illuminer ma Nuit, 6 a
180 « Et que, longtemps après, divine Rédemptrice, 6+6 b
« A travers l'ouragan qui veut que je périsse, 6+6 b
« Seule, tu m'as conduit ! 6 a
« O Reine ! Si le Temps vit de métamorphoses, 6+6 a
« Si l'immortali véritable des choses 6+6 a
185 « Est dans le souvenir, 6 a
« Ta grâce fleurira sans craindre la durée, 6+6 b
« Car dans mon cœur profond, par un baiser sacrée, 6+6 b
« Tu ne peux plus finir ! 6 a
« Là, pour l'Éternité, resplendira sans cesse 6+6 a
190 « Dans tout le cher éclat de sa chaste jeunesse 6+6 a
« Ta mystique beauté, 6 a
« Et, dans mon vol sans sin vers une soi meilleure, 6+6 b
« Ému, je songerai qu'un instant ta demeure 6+6 b
« Aura su m’abriter ! » 6 a
195 Pendant que s'envolait d'un rythme lent ce thrène, 6+6 a
Une clarté montait à l'horizon, sereine ; 6+6 a
Bientôt, à l'Orient, un grand rayon jaillit… 6+6 a
Et je pus contempler ce miracle inouï : 6+6 a
Blanche, d'une blancheur d'archange ou de colombe, 6+6 a
200 L'Église s'éveiller et sortir de sa tombe, 6+6 a
Ailée, et portant haut son front transfiguré ; 6+6 a
Et ce cri s'exhala de son sein inspiré : 6+6 a
« Sois béni pour tes beaux cantiques, 8 a
« Homme, au nom de tes dieux mourants ! 8 b
205 « Le culte des choses antiques 8 a
« Fait pour l'avenir les cœurs grands. 8 b
« Mais assez de deuils et de plaintes, 8 a
« De pleurs sur les gloires éteintes ! 8 a
« C'est offenser les choses saintes 8 a
210 « Que de gémir sur leur trépas. 8 a
« Si l'on voit ses floraisons blondes 8 b
« S'effeuiller un jour sur les ondes, 8 b
« Le tronc aux racines profondes, 8 b
« La Religion ne meurt pas ! 8 a
215 « Ami, reconnais-tu point Celle 8 a
« Qui vint vers toi, sauvage abrupt, 8 b
« Et fit la première étincelle 8 a
« Briller en ton cœur encor brut ? 8 b
« La prêtresse aux douceurs de femme 8 a
220 « Qui sans cesse au fond de ton âme 8 a
« A veillé sur la pure flamme 8 a
« De l'inextinguible Idéal, 8 a
« Et qui vient maintenant encore 8 b
« A la prière qui l'implore 8 b
225 « Faire jaillir du soir l'aurore, 8 b
« Faire jaillir le bien du mal ? 8 a
« Je renais, plus belle et plus forte 8 a
« Sous le limpide firmament ; 8 b
« Puisque tu me regrettais morte, 8 a
230 « Chante mon règne, ô mon amant ! 8 b
« Retrouve en tes ferveurs premières 8 a
« Le secret des lignes altières, 8 a
« Ce rythme harmonieux des pierres 8 a
« Qui fait l'âme songer à Dieu ; 8 a
235 « Que ta foi nouvelle et plus ample, 8 b
« Bâtissant à sa taille un temple, 8 b
« Guide à des hauteurs sans exemple 8 b
« Son vaste essor dans le ciel bleu ! 8 a
« Nous allons reprendre la route 8 a
240 « Où nous avons tant combattu 8 b
« Contre l'ombre immense du doute 8 a
« Pour cette lueur, la vertu. 8 b
« Certe, en cet assaut vers la gloire, 8 a
« Martyr de ta propre victoire, 8 a
245 « Tu saigneras, avant de boire 8 a
« Aux beaux vases de la clarté ; 8 a
« Mais la Douleur, ange au front blême, 8 b
« Te meurtrit parce qu'elle t'aime ; 8 b
« Tu lui dois le bonheur suprême : 8 b
250 « L'extase du labeur dompté ! 8 a
« A l'œuvre donc ! Obéissante 8 a
« A l'impérieux cri du Sort 8 b
« Que ta Pensée éblouissante 8 a
« Ouvre à grand vol ses ailes d'or ! 8 b
255 « Qu'elle aille, vierge grave et pure, 8 a
« Se penchant sur l'âpre Nature, 8 a
« Entendre chez sa sœur obscure 8 a
« Battre un cœur comme elle divin ; 8 a
« Qu'éclairant sa marche hardie, 8 b
260 « Peu à peu s'enfle en incendie 8 b
« L'étincelle toujours grandie 8 b
« De Brahma jusques à Calvin ! 8 a
« A travers les vents et les nues, 8 a
« Les orages et les éclairs, 8 b
265 « Qu'elle aille aux steppes inconnues, 8 a
« Aux larges steppes des cieux clairs ! 8 b
« Que, recueillie et solitaire, 8 a
« Elle sache la joie austère 8 a
« De voir se creuser le mystère, 8 a
270 « Puisque le mystère est sa loi, 8 a
« En attendant l'Ère féconde 8 b
« Où, dans l'immensité profonde, 8 b
« Elle fuira de monde en monde 8 b
« Élargissant toujours sa foi ! 8 a
275 Soulevée à demi par un souffle de brise, 6+6 a
D'une voix ineffable ainsi parla l'Église 6+6 a
En élevant sa main lumineuse au ciel bleu. 6+6 a
Et l'Homme, extasié, cria : « Louange à Dieu ! » 6+6 a
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Or, vous tous qui lirez ces paroles étranges, 6+6 a
280 Les choses que j'appris de la bouche des Anges 6+6 a
Sont celles que je dis. — Le Maître du destin 6+6 a
M'a dicté cet écrit immuable et certain. 6+6 a
Je ne l'ai point scellé, car les temps sont très proches 6+6 a
Où l'eau vive fendra les entrailles des roches. 6+6 a
285 Maintenant que l'Impie hurle et crache à son gré ! 6+6 a
Que le Juste avec soi défriche l'Ignoré ! 6+6 a
Chacun sera pa par le fruit de son acte. 6+6 a
Et rien n'empêchera de s'accomplir le pacte 6+6 a
Qui doit unir l'Épouse à l'Époux par l'hymen. 6+6 a
290 La Grâce du Seigneur soit sur vous tous, AMEN ! 6+6 a
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